Paroles de la chanson ATEMPOREL par Oeley
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Paroles de la chanson ATEMPOREL par Oeley
Étrange écho, voix qui résonne j'ai pas l'droit à la faute
J'vois les vrais des faux depuis quelques temps
L'orage qui tonne me rappelle qu'il fait froid
La douleur est douce mais ne cesse de croître
J'ai gardé en moi, des histoires si précieuses
Un jour ça en vaudra la peine
J'évite mon passé dès lors que c'est brûlant
J'évite le futur demain sera plus lent
Peut-être que j'srai plus là, toujours vu plus loin
J'ai des ambitions qui s'cachеnt mais j'suis serein
Peut-êtrе à demain, bonjour des deux mains
Mais derrière c'est triste et y'a aucun sourire
J'ai donné à certains qui méritaient rien
J'vois les vrais des faux depuis quelques temps
L'orage qui tonne me rappelle qu'il fait froid
La douleur est douce mais ne cesse de croître
J'ai gardé en moi, des histoires si précieuses
Un jour ça en vaudra la peine
J'évite mon passé dès lors que c'est brûlant
J'évite le futur demain sera plus lent
Peut-être que j'srai plus là, toujours vu plus loin
J'ai des ambitions qui s'cachеnt mais j'suis serein
Peut-êtrе à demain, bonjour des deux mains
Mais derrière c'est triste et y'a aucun sourire
J'ai donné à certains qui méritaient rien
Ça venait du cœur, car moi j'en ai un
Sentiments blessés j'ai peur de confesser trop parler peut tuer donc tu es sous tutelle permanente
Vexé du succès que jamais je chercherai j'veux juste un petit coin de permanence
J'ai pensé tout voir, la tromperie, l'avarice, les pensées toutes noires
Les sourires, la malice, j'ai traîné très tard
Mais les amis qui partent j'ai jamais pu y croire
J'ai ma vie façonnée comme j'la voulais
Des ambitions à la hauteur de rêves
Alors j'écris des ver-sets
Pour le moi dans 10 ans que j'parle en écrivant
J'espère que tu sauras comprendre
J'aime chercher au fond de moi-même
Une base consolidée aux reflets amers
Des pleurs qui s'écoulent quand tout est parallèle
Sentiments blessés j'ai peur de confesser trop parler peut tuer donc tu es sous tutelle permanente
Vexé du succès que jamais je chercherai j'veux juste un petit coin de permanence
J'ai pensé tout voir, la tromperie, l'avarice, les pensées toutes noires
Les sourires, la malice, j'ai traîné très tard
Mais les amis qui partent j'ai jamais pu y croire
J'ai ma vie façonnée comme j'la voulais
Des ambitions à la hauteur de rêves
Alors j'écris des ver-sets
Pour le moi dans 10 ans que j'parle en écrivant
J'espère que tu sauras comprendre
J'aime chercher au fond de moi-même
Une base consolidée aux reflets amers
Des pleurs qui s'écoulent quand tout est parallèle
Et ma vie qui s'écroule face au creux de la mer
C'est la merde, mais j'avance avec le sourire de ma mère
Le regard de mon père, l'amour de mes frères
Et le cœur allégé putain, le cœur si léger, pourtant
J'aime bien trop être seul
Alors j'y prends goût aux moments opportuns
J'voulais parler plus mais c'est rien d'important
Atemporel
C'est la merde, mais j'avance avec le sourire de ma mère
Le regard de mon père, l'amour de mes frères
Et le cœur allégé putain, le cœur si léger, pourtant
J'aime bien trop être seul
Alors j'y prends goût aux moments opportuns
J'voulais parler plus mais c'est rien d'important
Atemporel
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