Paroles de la chanson Lucide par Ondes
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Paroles de la chanson Lucide par Ondes
J’ai gravi des montagnes, j’ai gravi des sommets
Je t’ai gravé dans mon crâne, j’en ai germé des soleils
Tout ça, je l’ai vécu avec toi
Je pensais qu’en s’aimant, on s’aimantait
Qu’on cimentait nos sentiments sans se mentir
Avec des promesses bien fermentées
J’ai cru qu’on était l’exception qui confirmait la vie
Lucide, j’étais emporté par tes idées les plus noires, jusqu’au bout de tes pas
Je t’aurais donné ma vie si… tu n’avais pas changé d’avis
Je t’ai gravé dans mon crâne, j’en ai germé des soleils
Tout ça, je l’ai vécu avec toi
Je pensais qu’en s’aimant, on s’aimantait
Qu’on cimentait nos sentiments sans se mentir
Avec des promesses bien fermentées
J’ai cru qu’on était l’exception qui confirmait la vie
Lucide, j’étais emporté par tes idées les plus noires, jusqu’au bout de tes pas
Je t’aurais donné ma vie si… tu n’avais pas changé d’avis
J’entends voler des oiseaux dans mon cerveau lent
Je perds le contrôle quand on parle de sentiment
Mais gentiment, que veux-tu que je fasse seul ?
J’ai goûté à la vie mais j’ai perdu mon âme soeur
J’ai perdu mon âme soeur…
Quand je chante je pleure, quand je pleure je chante
Me voilà pauvre fleur, seule et fanée dans les champs
Je ne vois plus le soleil, je germe enfermée dans ma chambre
Je n’ouvre que mes oreilles, toujours immobile à t’attendre
Tu m’auras permis de vivre, ivre, en sentant ce battement dans mon coeur
Je perds le contrôle quand on parle de sentiment
Mais gentiment, que veux-tu que je fasse seul ?
J’ai goûté à la vie mais j’ai perdu mon âme soeur
J’ai perdu mon âme soeur…
Quand je chante je pleure, quand je pleure je chante
Me voilà pauvre fleur, seule et fanée dans les champs
Je ne vois plus le soleil, je germe enfermée dans ma chambre
Je n’ouvre que mes oreilles, toujours immobile à t’attendre
Tu m’auras permis de vivre, ivre, en sentant ce battement dans mon coeur
Ce sentiment indestructible qui t’enlève tous complexes et toutes tes peurs
Je me sentais enfin moi quand tu posais tes mains moites sur mon corps
Quand on laissait glisser les draps au rythme fou de nos rapports…
Je me sentais enfin moi quand tu posais tes mains moites sur mon corps
Quand on laissait glisser les draps au rythme fou de nos rapports…
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