Paroles de la chanson Elle viendra quand même par Orelsan
Auteurs: Orelsan
Editeurs: Warner Chappell Music France,7Th Magnitude
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Paroles de la chanson Elle viendra quand même par Orelsan
La mort s'en bat les couilles de ta vie
Si t’as pas fait ton sac elle viendra te chercher quand-même
Je voudrais croire aux miracles, aux tours de magie
Mais c’est qu’un peu d'trucages et beaucoup de mise en scènes
La mort s’en bat les couilles de ta vie(x2)
Souvent la froideur de la vérité vient m’embrasser
Rien n’a de sens on peut qu’regarder le temps passer
Y’a pas longtemps j’imaginais même pas vraiment clamser
Si t’as pas fait ton sac elle viendra te chercher quand-même
Je voudrais croire aux miracles, aux tours de magie
Mais c’est qu’un peu d'trucages et beaucoup de mise en scènes
La mort s’en bat les couilles de ta vie(x2)
Souvent la froideur de la vérité vient m’embrasser
Rien n’a de sens on peut qu’regarder le temps passer
Y’a pas longtemps j’imaginais même pas vraiment clamser
Mais plus le sablier s’écoule et moins ça me semble abstrait
Angoissé, en pleine nuit le sang glacé
Le plus dur c’est pas le cauchemar c’est l’instant d’après
C’est l’instant de clarté
Ou j’suis persuadé qu’y a plus qu’un grand vide quand elle vient t’embarquer
Les gens à fond dans l’train-train quotidien
Leur faim, comment ça se fait qu’ils l’acceptent aussi bien
Tout paraît absurde, presque ironique
Vivre d’une manière carré comme si mourir était la suite logique
Elle me hante à en devenir gothique
J’lis des chroniques scientifiques voir l’avancé des corps bioniques
Angoissé, en pleine nuit le sang glacé
Le plus dur c’est pas le cauchemar c’est l’instant d’après
C’est l’instant de clarté
Ou j’suis persuadé qu’y a plus qu’un grand vide quand elle vient t’embarquer
Les gens à fond dans l’train-train quotidien
Leur faim, comment ça se fait qu’ils l’acceptent aussi bien
Tout paraît absurde, presque ironique
Vivre d’une manière carré comme si mourir était la suite logique
Elle me hante à en devenir gothique
J’lis des chroniques scientifiques voir l’avancé des corps bioniques
Le Big-bang, l’évolution, les hommes préhistoriques
Face au mystique, l’ésotérique, les délires cosmiques
Choisis ta voix
Entre Kurt Cobain et Buddha deux façons d’atteindre le Nirvana
Chaque fois que j’regarde les étoiles j’pense t’emballe pas
C’est qu’du gaz autant faire un vœu devant ton écran plasma
Et j’y pense la plupart du temps
P't'être parce que j’fume depuis que 15 ans
P't'être parce que j’crache du sang
Impuissant, si Dieu n’existe pas, j’brasse du vent
Face au mystique, l’ésotérique, les délires cosmiques
Choisis ta voix
Entre Kurt Cobain et Buddha deux façons d’atteindre le Nirvana
Chaque fois que j’regarde les étoiles j’pense t’emballe pas
C’est qu’du gaz autant faire un vœu devant ton écran plasma
Et j’y pense la plupart du temps
P't'être parce que j’fume depuis que 15 ans
P't'être parce que j’crache du sang
Impuissant, si Dieu n’existe pas, j’brasse du vent
Si Dieu existe j’trouve pas ça vraiment plus rassurant
C’est marqué noir sur blanc
Au grand tournoi du Paradis on ira sûrement même pas sur le banc
J’ai du mal à croire la Bible même si j’aime ses enseignements
La mort c’est la finale, le sommeil c’est l’entrainement
J’ai peur de la faucheuse, du roi des ombres
Peur de la trotteuse, la vitesse à laquelle passe les s'condes
Avant de partir on m'demandera des comptes
J’prépare la réponse
J’répare mes tuiles avant que le toit ne s’effondre
Plus j’approche du bonheur plus j’ai peur qu’elle vienne
C’est marqué noir sur blanc
Au grand tournoi du Paradis on ira sûrement même pas sur le banc
J’ai du mal à croire la Bible même si j’aime ses enseignements
La mort c’est la finale, le sommeil c’est l’entrainement
J’ai peur de la faucheuse, du roi des ombres
Peur de la trotteuse, la vitesse à laquelle passe les s'condes
Avant de partir on m'demandera des comptes
J’prépare la réponse
J’répare mes tuiles avant que le toit ne s’effondre
Plus j’approche du bonheur plus j’ai peur qu’elle vienne
Comme si j’avais peur d’être aveugle après que le soleil s’éteigne
Est-ce que mes croyances et mes pensées sont les miennes
Ou je reste influencé par 2000 ans d’éducation chrétienne
Trop d’égo pour croire que la Terre tourne sans ma présence
Mais j’me rappelle que j’me rappelle pas d’avant ma naissance
J’crois au sixième sens, aux visions sous psychotropes
J’crois qu’ton cerveau déraille quand tu stresses ou qu’t’as pris trop de drogues
J’crois qu’en la vérité des microscopes
Celle qui dit qu’tout est fini quand y’a plus de montagnes sur l’oscilloscope
J’aimerai avoir l’espoir de croire au surnaturel
Avoir le confort de m’en remettre à la grâce du ciel
Mon grand-père a de l’humidité sur chaque prunelle
Parce qu’il connaît la cruauté de faire partie de la race humaine
Y’aura pas d’tunnel, pas d’lumière, pas d’rivière, pas d’ange après qu’elle t’emmène
Et pourtant elle viendra quand-même.
Avoir le confort de m’en remettre à la grâce du ciel
Mon grand-père a de l’humidité sur chaque prunelle
Parce qu’il connaît la cruauté de faire partie de la race humaine
Y’aura pas d’tunnel, pas d’lumière, pas d’rivière, pas d’ange après qu’elle t’emmène
Et pourtant elle viendra quand-même.
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