Paroles de la chanson Mon rap sait par Oster Lapwass

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Paroles de la chanson Mon rap sait par Oster Lapwass

C'est un pauv' stylo aimant pisser dans c't'immensité
Un nouveau-né émancipé et c'pistolet qu'est dans sa peau
C'est un saint vénèr assassiné, vengeur sans sommeil
Un souvenir de sang signé, un ovni descend sur nous
C'est la colère dans une arme, acculée dans une âme
Quand le délire sert de masque, sache la douleur sort d'une arme
Juste la couleur sur un homme ou bien même tout l'peuple unanime
J'suis sur la lune, dis-moi là bas que ??? doutait, t'as vu ma mine ?

C'est tête bridée ??? sur tête grillée
C'est métissé mon passeport, épicé mon pedigree
C'est pas un joli gone, (x) un hooligan à la gomme
Pas un Callaghan, qu'a la guigne
C'est un banal périple sur l'bord du [Gange?]
C'est ma paire de gants, mon fer de lance, l'inverse des gens
C'est mon meilleur plan de perte de temps, ma terre d'errance
C'est mon air de danse, ma vis de r'change, ma clé des champs
C'est mon zeste de chance, mon verre de blanc, mon frère de sang

C'est ma projection, mon double
De l'heure, accrochées sur mon dos

Des ailes, m'approcher de mon Dieu
C'que j'ai pas osé demandé
C'est ma projection, mon double
De l'heure, accrochées sur mon dos
Des ailes, m'approcher de mon Dieu
C'que j'ai pas osé demandé
C'est ma projection, mon double
De l'heure, accrochées sur mon dos
Des ailes, m'approcher de mon Dieu
C'que j'ai pas osé demandé
C'est ma projection, mon double
De l'heure, accrochées sur mon dos
Des ailes, m'approcher de mon Dieu
C'que j'ai pas osé demandé

C'est vocale comme cette corde qu'étrangle et venge ce corps étrange
C'est comme une sorte d'ange très chiant, bêtement qui croit nous porter chance

En train de morte de faim, forte et franche, faite par des potes, ???
C'est peut-être des portes, de l'art j'en ai tellement que quand j'la sors j'ai honte
C'est se laisser enivrer, rien qu'en se lançant en avant
Sûr c'est l'ancien et l'nouveau, issu d'l'intensément navrant
C'est une sentence d'encrier, un sanglot dans l'crayon
Etre sanglant sans crier, faire semblant d's'en tirer, s'étrangler en criant
Cette vue spirituelle, sport actuel, visite ton hall
Car c'est rarement d'l'anodin, ouais, l'arrivée du maudit, yo
Un replay démodé, loin d'mes rizières inondées

Et près des rivières d'immondices, mon rap c'est l'rire niais du non-dit
C'est ma projection, mon double
De l'heure, accrochées sur mon dos
Des ailes, m'approcher de mon Dieu
C'que j'ai pas osé demandé : une acuité
Au moins la beauté d'un mendiant, ouais
Molletonné mon appui-tête, mon porte-bonheur mon amulette
Le mental, à moitié, elle émotive, c'est la montagne du leit-motiv au contact d'une météorite
C'est mon île déserte, c'est un seul mot, une seule mesure valent
Cent dessins ou une dissert'

C'est ma projection, mon double
De l'heure, accrochées sur mon dos
Des ailes, m'approcher de mon Dieu

C'que j'ai pas osé demandé
C'est ma projection, mon double
De l'heure, accrochées sur mon dos
Des ailes, m'approcher de mon Dieu
C'que j'ai pas osé demandé
C'est ma projection, mon double
De l'heure, accrochées sur mon dos
Des ailes, m'approcher de mon Dieu
C'que j'ai pas osé demandé
C'est ma projection, mon double
De l'heure, accrochées sur mon dos
Des ailes, m'approcher de mon Dieu
C'que j'ai pas osé demandé

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