Paroles de la chanson Il nous faut regarder par Oxmo Puccino
Auteurs: Jacques Brel
Compositeurs: Jacques Brel
Editeurs: Universal Music Publishing France Et Éditions Jacques Brel,Bruxelles,1954. Premier Editeur : Les Éditions Montmartre
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Paroles de la chanson Il nous faut regarder par Oxmo Puccino
Derrière la saleté s’étalant devant nous
Derrière les yeux plissés les visages mous
Au delà de ces mains ouvertes ou fermés
Qui se tendent en vain ou qui sont poing levé
Plus loin que les frontières qui sont de barbelés
Plus loin que la misère il nous faut regarder
Plus loin que les frontières qui sont de barbelés
Plus loin que la misère il nous faut regarder
Il nous faut regarder ce qu’il y a de beau
Le ciel gris ou bleuté les filles au bord de l’eau
L’ami qu’on sait fidele le soleil de demain
Le vol d’une hirondelle le bateau qui revient
Derrière les yeux plissés les visages mous
Au delà de ces mains ouvertes ou fermés
Qui se tendent en vain ou qui sont poing levé
Plus loin que les frontières qui sont de barbelés
Plus loin que la misère il nous faut regarder
Plus loin que les frontières qui sont de barbelés
Plus loin que la misère il nous faut regarder
Il nous faut regarder ce qu’il y a de beau
Le ciel gris ou bleuté les filles au bord de l’eau
L’ami qu’on sait fidele le soleil de demain
Le vol d’une hirondelle le bateau qui revient
L’ami qu’on sait fidele le soleil de demain
Le vol d’une hirondelle le bateau qui revient
Par delà le concert des sanglots et des pleurs
Et des cris de colère des hommes qui ont peur
Par delà le vacarme des rues et des chantiers
Les sirène d'alarme les jurons de Chartier
Plus fort que les enfants qui racontent les guerres
Et plus fort que les granges qui nous les ont fait faire
Il nous faut écouter l’oiseau au fond des bois
Le murmure de l’été le sang qui monte en sois
Les berceuses des mères les prières des enfants
Le vol d’une hirondelle le bateau qui revient
Par delà le concert des sanglots et des pleurs
Et des cris de colère des hommes qui ont peur
Par delà le vacarme des rues et des chantiers
Les sirène d'alarme les jurons de Chartier
Plus fort que les enfants qui racontent les guerres
Et plus fort que les granges qui nous les ont fait faire
Il nous faut écouter l’oiseau au fond des bois
Le murmure de l’été le sang qui monte en sois
Les berceuses des mères les prières des enfants
Et le bruit de la terre qui s’endort doucement
Les berceuses des mères les prières des enfants
Et le bruit de la terre qui s’endort doucement
Les berceuses des mères les prières des enfants
Et le bruit de la terre qui s’endort doucement
Doucement
Doucement
Doucement
Doucement
Et le bruit de la terre qui s’endort doucement
Les berceuses des mères les prières des enfants
Et le bruit de la terre qui s’endort doucement
Les berceuses des mères les prières des enfants
Et le bruit de la terre qui s’endort doucement
Doucement
Doucement
Doucement
Doucement
Et le bruit de la terre qui s’endort doucement
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