Paroles de la chanson Le nombril par Oxmo Puccino
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Paroles de la chanson Le nombril par Oxmo Puccino
74, au siècle dernier
On a tous commencé comme ça
Une rencontre, et soudain se retrouvent deux responsables
Le futur part en loge au 43 rue des poissonniers
Bientôt nous seront trois
Très vite les premières nausées, avec un frère défunt j'suis comme un exaucé
Mental fort, embryon fragile, calme, les prochains mois seront moins difficiles
Nous ne sommes que des conséquences
Notre passé commence avant la naissance
74, au siècle dernier
On a tous commencé comme ça
Une rencontre, et soudain se retrouvent deux responsables
Le futur part en loge au 43 rue des poissonniers
Bientôt nous seront trois
Très vite les premières nausées, avec un frère défunt j'suis comme un exaucé
Mental fort, embryon fragile, calme, les prochains mois seront moins difficiles
Nous ne sommes que des conséquences
Notre passé commence avant la naissance
74, au siècle dernier
J'écoute le monde à travers le nombril de ma mère
Dehors je serais l'incompris
17è semaines mes oreilles formées garderont les ???
Sacrifice de poulet, chant céleste
La vieille l'a prédit, je s'rais célèbre
Papa m'a ??? à 17 ans, pour l'instant, culturellement distant
Plus tard il m'apprendra les couleurs
Depuis j'suis avant d'être à l'heure
Je suce mon pouce point fermé
C'est la pression fils ainé
74, au siècle dernier
Ma mère va rejoindre la famille
D'ici deux ans je remets les pieds à Paris
Dehors je serais l'incompris
17è semaines mes oreilles formées garderont les ???
Sacrifice de poulet, chant céleste
La vieille l'a prédit, je s'rais célèbre
Papa m'a ??? à 17 ans, pour l'instant, culturellement distant
Plus tard il m'apprendra les couleurs
Depuis j'suis avant d'être à l'heure
Je suce mon pouce point fermé
C'est la pression fils ainé
74, au siècle dernier
Ma mère va rejoindre la famille
D'ici deux ans je remets les pieds à Paris
Du nombril, mon hublot, je vois ses gouts
D'aller et retour causent ma carte de séjour
Un gros bébé se sent à l'étroit
Six mois, maman tient pu' son dos droit
J'ai plus d'papi, mes oncles et tantes sont presque huit
Tapis rouge mamie
25 degrés à l'ombre des baobabs (yes papa)
74, au siècle dernier
74, au siècle dernier
D'aller et retour causent ma carte de séjour
Un gros bébé se sent à l'étroit
Six mois, maman tient pu' son dos droit
J'ai plus d'papi, mes oncles et tantes sont presque huit
Tapis rouge mamie
25 degrés à l'ombre des baobabs (yes papa)
74, au siècle dernier
74, au siècle dernier
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