Paroles de la chanson Amigos (Traduction) par Pablo Alboran
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Paroles de la chanson Amigos (Traduction) par Pablo Alboran
[Pablo Alborán]
Dis-moi combien la vérité va me faire mal
Je ne sais pas trop si je veux l'entendre
Je sais que c'est là-dessus qu'on a fondé notre amitié
Un jour, je te protège ; un autre, tu me protèges
Tu fais toujours en sorte que revienne la fête
Et que le monde ralentisse sa vitesse
Avec, en réponse, un autre verre
À chaque mal d'amour, à chaque peine
[Pablo Alborán]
Pour que je ne pleure plus
[Pablo Alborán]
Je peux voir la vie en couleur, tout le quartier nous regarde
Dis-moi combien la vérité va me faire mal
Je ne sais pas trop si je veux l'entendre
Je sais que c'est là-dessus qu'on a fondé notre amitié
Un jour, je te protège ; un autre, tu me protèges
Tu fais toujours en sorte que revienne la fête
Et que le monde ralentisse sa vitesse
Avec, en réponse, un autre verre
À chaque mal d'amour, à chaque peine
[Pablo Alborán]
Pour que je ne pleure plus
[Pablo Alborán]
Je peux voir la vie en couleur, tout le quartier nous regarde
En sirotant les heures comme si c'était de l'alcool
Je te donne la main et on court, dans un moment on sera de retour
Que personne n'appelle, on ne répond pas
Je peux voir la vie en couleur, tout le quartier nous regarde
En sirotant les heures comme si c'était de l'alcool
Je te donne la main et on court, dans un moment on sera de retour
Que personne n'appelle, on ne répond pas
[María Becerra]
De toi, je nage comme la mer et le sable
Il me manque quelque chose si tu n'es pas là
Tu es comme le sang dans mes veines
Et l'impensable pour vivre
Je te donne la main et on court, dans un moment on sera de retour
Que personne n'appelle, on ne répond pas
Je peux voir la vie en couleur, tout le quartier nous regarde
En sirotant les heures comme si c'était de l'alcool
Je te donne la main et on court, dans un moment on sera de retour
Que personne n'appelle, on ne répond pas
[María Becerra]
De toi, je nage comme la mer et le sable
Il me manque quelque chose si tu n'es pas là
Tu es comme le sang dans mes veines
Et l'impensable pour vivre
Si tu savais que cette réponse
Est tout ce que tu veux entendre
Je t'ai déjà laissé la porte ouverte
Avec toi, j'ose sentir
Je n'ai pas assez de temps devant moi (Je n'ai pas assez de temps devant moi)
Quand je suis avec toi (Quand je suis avec toi)
Il manque tant de moments (Il manque tant de moments)
Les raisons ne manquent pas
[Maria Becerra et Pablo Alborán]
Pour que je ne pleure plus
[Pablo Alborán et Maria Becerra]
Je peux voir la vie en couleur, tout le quartier nous regarde
En sirotant les heures comme si c'était de l'alcool
Est tout ce que tu veux entendre
Je t'ai déjà laissé la porte ouverte
Avec toi, j'ose sentir
Je n'ai pas assez de temps devant moi (Je n'ai pas assez de temps devant moi)
Quand je suis avec toi (Quand je suis avec toi)
Il manque tant de moments (Il manque tant de moments)
Les raisons ne manquent pas
[Maria Becerra et Pablo Alborán]
Pour que je ne pleure plus
[Pablo Alborán et Maria Becerra]
Je peux voir la vie en couleur, tout le quartier nous regarde
En sirotant les heures comme si c'était de l'alcool
Je te donne la main et on court, dans un moment on sera de retour
Que personne n'appelle, on ne répond pas
Je peux voir la vie en couleur, tout le quartier nous regarde
En sirotant les heures comme si c'était de l'alcool
Je te donne la main et on court, dans un moment on sera de retour
Que personne n'appelle, on ne répond pas
[Pablo Alborán]
Ra-ra-ra, ra-ra
Ra-ra-ra, ra-ra-ra
Ra-ra-ra, ra-ra
Ra-ra-ra, ra-ra-ra, ra-ra-ra, ra-ra-ra
[Pablo Alborán, Maria Becerra]
Que personne n'appelle, on ne répond pas
Je peux voir la vie en couleur, tout le quartier nous regarde
En sirotant les heures comme si c'était de l'alcool
Je te donne la main et on court, dans un moment on sera de retour
Que personne n'appelle, on ne répond pas
[Pablo Alborán]
Ra-ra-ra, ra-ra
Ra-ra-ra, ra-ra-ra
Ra-ra-ra, ra-ra
Ra-ra-ra, ra-ra-ra, ra-ra-ra, ra-ra-ra
[Pablo Alborán, Maria Becerra]
Tu fais toujours en sorte que revienne la fête (Fête)
Et que le monde ralentisse sa vitesse (-tesse)
Avec, en réponse, un autre verre
À chaque mal d'amour, à chaque peine
[Pablo Alborán]
Pour que je ne pleure plus
[Pablo Alborán, Ambos, Maria Becerra]
Tu me guéris de cette solitude
Solitude (Solitude), solitude, soli-, soli-, solitude (Solitude)
Tu me guéris de cette solitude
Solitude, solitude, soli-, soli-, solitude
Tu me guéris de cette solitude
(Je peux voir la vie en couleur, tout le quartier nous regarde)
Solitude (Solitude), solitude, soli-, soli-, solitude (Solitude)
Et que le monde ralentisse sa vitesse (-tesse)
Avec, en réponse, un autre verre
À chaque mal d'amour, à chaque peine
[Pablo Alborán]
Pour que je ne pleure plus
[Pablo Alborán, Ambos, Maria Becerra]
Tu me guéris de cette solitude
Solitude (Solitude), solitude, soli-, soli-, solitude (Solitude)
Tu me guéris de cette solitude
Solitude, solitude, soli-, soli-, solitude
Tu me guéris de cette solitude
(Je peux voir la vie en couleur, tout le quartier nous regarde)
Solitude (Solitude), solitude, soli-, soli-, solitude (Solitude)
(En sirotant les heures comme si c'était de l'alcool)
Tu me guéris de cette solitude
(Je te donne la main et on court, dans un moment on sera de retour)
Solitude, solitude, soli- soli-, solitude
(Que personne n'appelle, on ne répond pas)
[Pablo Alborán]
Je peux voir le monde en couleur, tout le quartier nous regarde
En sirotant les heures comme de l'alcool
Je te donne la main et on court, dans un moment on sera de retour
Que personne n'appelle, on ne répond pas
Je peux voir le monde en couleur, tout le quartier nous regarde
En sirotant les heures comme de l'alcool
Tu me guéris de cette solitude
(Je te donne la main et on court, dans un moment on sera de retour)
Solitude, solitude, soli- soli-, solitude
(Que personne n'appelle, on ne répond pas)
[Pablo Alborán]
Je peux voir le monde en couleur, tout le quartier nous regarde
En sirotant les heures comme de l'alcool
Je te donne la main et on court, dans un moment on sera de retour
Que personne n'appelle, on ne répond pas
Je peux voir le monde en couleur, tout le quartier nous regarde
En sirotant les heures comme de l'alcool
Je te donne la main et on court, dans un moment on sera de retour
Que personne n'appelle, on ne répond pas
[ Maria Becerra et Pablo Alborán]
La, la-ah, ah-ah
Je ne suis pas ton amie (La-la-la, la-la-la)
La, la-ah, ah-ah (La-la-la, la-la-la)
Mmm (La-la-la, la-la-la)
Que personne n'appelle, on ne répond pas
[ Maria Becerra et Pablo Alborán]
La, la-ah, ah-ah
Je ne suis pas ton amie (La-la-la, la-la-la)
La, la-ah, ah-ah (La-la-la, la-la-la)
Mmm (La-la-la, la-la-la)
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