Paroles de la chanson Un Sucre X Deux Glacons par Pas souvent
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Paroles de la chanson Un Sucre X Deux Glacons par Pas souvent
Dans un maigre recul, où le silence est d'or
Doucement je m'endors
Dans une vague détresse, connotation burlesque
Je recense mes remords
C'est en croisant les chaînes, une existence humaine
Je me remets dignement dans des trames qui malmènent
Et en tentant plus fort, que la scène me prenne
Je me poserai devant les Jurés de l'appel
Accoutrements funestes, que le diable m’oppresse
Doucement je m'endors
Dans une vague détresse, connotation burlesque
Je recense mes remords
C'est en croisant les chaînes, une existence humaine
Je me remets dignement dans des trames qui malmènent
Et en tentant plus fort, que la scène me prenne
Je me poserai devant les Jurés de l'appel
Accoutrements funestes, que le diable m’oppresse
Mais silence ! Je m'endors !
La finesse tentation, comme une simple caresse
Met à nu tous mes torts
Habité par une paresse, à l'apparence, allégresse
Avoir un seul défaut, ne pas tenir mes promesses
Alors rien ne presse, et quand bien même j'ai tort
Je déposerai mes marques sur ces quelques accords
C'est en tendant mon cœur, que le silence se heurte
À la froideur du corps
Oh ma songe faiblesse, regarde bien ce qu'il me reste
La finesse tentation, comme une simple caresse
Met à nu tous mes torts
Habité par une paresse, à l'apparence, allégresse
Avoir un seul défaut, ne pas tenir mes promesses
Alors rien ne presse, et quand bien même j'ai tort
Je déposerai mes marques sur ces quelques accords
C'est en tendant mon cœur, que le silence se heurte
À la froideur du corps
Oh ma songe faiblesse, regarde bien ce qu'il me reste
Ais pitié ! Je t'implore !!
C'est en croisant tes chaînes, prévues que pour me plaire
Dans tes charmes perfides
Et en tentant plus fort
On se posera devant les journalistes de la Scène
Accoutrements funestes, que le diable m’oppresse
Mais silence ! Je m'endors !
La finesse tentation, comme une simple caresse
Met à nu tous mes torts
Habité par une paresse, à l'apparence, allégresse
Avoir un seul défaut, ne pas tenir mes promesses
Alors rien ne nous presse, et quand bien même j'ai tort
Je poserai nos marques sur ces quelques accords
C'est en tendant mon cœur, que le silence se heurte
À la froideur du corps
Oh ma songe faiblesse, regarde bien ce qu'il me reste
Ais pitié ! Je t'implore !!
C'est en croisant tes chaînes, prévues que pour me plaire
Dans tes charmes perfides
Alors rien ne nous presse, et quand bien même j'ai tort
Je poserai nos marques sur ces quelques accords
C'est en tendant mon cœur, que le silence se heurte
À la froideur du corps
Oh ma songe faiblesse, regarde bien ce qu'il me reste
Ais pitié ! Je t'implore !!
C'est en croisant tes chaînes, prévues que pour me plaire
Dans tes charmes perfides
Et en tentant plus fort
On se posera devant les journalistes de la Seine
On se posera devant les journalistes de la Seine
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