Paroles de la chanson Marie 3 par Pascal
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Paroles de la chanson Marie 3 par Pascal
Je me lève… Si seulement tu étais là !?
Je pense à toi, mais je ne suis pas dans tes bras
Le froid qui lacère et glace mon corps
N’attends que le tiens comme un feu qui le dévore
Pour la toute première fois de ma vie
Je ressens au-delà d’une présence qui à fui
Autre chose, qu’un vide immense et rien d’autres que mes cris
Dans le fond de mon cœur meurtri
Marie,
Il y à tant de raisons
Comme autant de passions
Je pense à toi, mais je ne suis pas dans tes bras
Le froid qui lacère et glace mon corps
N’attends que le tiens comme un feu qui le dévore
Pour la toute première fois de ma vie
Je ressens au-delà d’une présence qui à fui
Autre chose, qu’un vide immense et rien d’autres que mes cris
Dans le fond de mon cœur meurtri
Marie,
Il y à tant de raisons
Comme autant de passions
Qui me pousse à t’aimer
Peux tu, seulement les imaginées ?
Marie,
Ma bien aimée
Vers qui toutes mes pensées, s’envolent
Peux tu, seulement les effleurées ?
Du bout de tes lèvres…
Il n’existe pas assez d’une seule sentence
Qui ne puisse un jour, m’éloigner de toi
Ni même éteindre en mon cœur, la flamme
Je ne te veux d’autre secret, que moi
Comme tant de rêves, trop bien cachés
Le parfum de ta peau, sur mes nuits papillonne
Quand bien même pleurer, ne permet d’espérer
La douceur de ta voix, dans ma tête résonne
Peux tu, seulement les imaginées ?
Marie,
Ma bien aimée
Vers qui toutes mes pensées, s’envolent
Peux tu, seulement les effleurées ?
Du bout de tes lèvres…
Il n’existe pas assez d’une seule sentence
Qui ne puisse un jour, m’éloigner de toi
Ni même éteindre en mon cœur, la flamme
Je ne te veux d’autre secret, que moi
Comme tant de rêves, trop bien cachés
Le parfum de ta peau, sur mes nuits papillonne
Quand bien même pleurer, ne permet d’espérer
La douceur de ta voix, dans ma tête résonne
Marie,
Il y à tant de raisons
Comme autant de passions
Qui me pousse à t’aimer
Peux tu, seulement les imaginées ?
Marie,
Ma bien aimée
Vers qui toutes mes pensées, s’envolent
Peux tu, seulement les effleurées ?
Du bout de tes lèvres…
Si tu savais comme je suis heureux
De pouvoir me noyer dans tes yeux
De me languir d’être aimer
Autant que d’être désiré
Je te dirais ces mots, qui ne se disent pas
Pour un unique voyage d’amour, qui ne se raconte pas
Il y à tant de raisons
Comme autant de passions
Qui me pousse à t’aimer
Peux tu, seulement les imaginées ?
Marie,
Ma bien aimée
Vers qui toutes mes pensées, s’envolent
Peux tu, seulement les effleurées ?
Du bout de tes lèvres…
Si tu savais comme je suis heureux
De pouvoir me noyer dans tes yeux
De me languir d’être aimer
Autant que d’être désiré
Je te dirais ces mots, qui ne se disent pas
Pour un unique voyage d’amour, qui ne se raconte pas
Pour toi, j’arrêterais le cours du temps
Pour qu’il n’existe qu’un seul moment
De ma chair et d’un peu de toi
De notre amour et d’entre nos bras
Il ou elle sera…
Le plus beau cadeau, que la vie nous offrira
Marie,
Il y à tant de raisons
Comme autant de passions
Qui me pousse à t’aimer
Peux tu, seulement les imaginées ?
Marie,
Ma bien aimée
Vers qui toutes mes pensées, s’envolent
Peux tu, seulement les effleurées ?
Du bout de tes lèvres…
Pour qu’il n’existe qu’un seul moment
De ma chair et d’un peu de toi
De notre amour et d’entre nos bras
Il ou elle sera…
Le plus beau cadeau, que la vie nous offrira
Marie,
Il y à tant de raisons
Comme autant de passions
Qui me pousse à t’aimer
Peux tu, seulement les imaginées ?
Marie,
Ma bien aimée
Vers qui toutes mes pensées, s’envolent
Peux tu, seulement les effleurées ?
Du bout de tes lèvres…
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