Paroles de la chanson Ton Coeur par Pascal
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Paroles de la chanson Ton Coeur par Pascal
Elle, qui se mordait les lèvres
Mettant un bémol, à l'expression de sa colère
Elle, qui pourchassait ses idées noires
Comme de véritables cauchemars
Elle trouva la force et le courage
De se dresser devant ceux, qui matent dans le sang
Les révoltes qui annoncent le métissage
Elle libéra le droit d'aimer, de nos enfants
Que ton cœur me vienne de toutes origines
Peu m'importe ses racines
D'où tu viens et qui tu fuis
Peu m'importe ton pays
Que ton cœur me vienne de toutes origines
Mettant un bémol, à l'expression de sa colère
Elle, qui pourchassait ses idées noires
Comme de véritables cauchemars
Elle trouva la force et le courage
De se dresser devant ceux, qui matent dans le sang
Les révoltes qui annoncent le métissage
Elle libéra le droit d'aimer, de nos enfants
Que ton cœur me vienne de toutes origines
Peu m'importe ses racines
D'où tu viens et qui tu fuis
Peu m'importe ton pays
Que ton cœur me vienne de toutes origines
Peu m'importe ses racines
La couleur de ta peau et celle de tes yeux
Me regarde si peu
Après avoir exhortés, ses fidèles à se dresser contre elle
Au milieu des trahisons, et des embuscades
J'ai vu le vrai visage ; de milliers d'hommes
Sourire, devant les larmes d'une seule femme
Elle livra son ultime combat, aux appétits de hordes sauvages
Le cœur dans une main, dans l'autre une prière
Réussissant l'exploit, de projeter sur les moments les plus cruels
Le halo d'une grâce toute particulière
Que ton cœur me vienne de toutes origines
La couleur de ta peau et celle de tes yeux
Me regarde si peu
Après avoir exhortés, ses fidèles à se dresser contre elle
Au milieu des trahisons, et des embuscades
J'ai vu le vrai visage ; de milliers d'hommes
Sourire, devant les larmes d'une seule femme
Elle livra son ultime combat, aux appétits de hordes sauvages
Le cœur dans une main, dans l'autre une prière
Réussissant l'exploit, de projeter sur les moments les plus cruels
Le halo d'une grâce toute particulière
Que ton cœur me vienne de toutes origines
Peu m'importe ses racines
D'où tu viens et qui tu fuis
Peu m'importe ton pays
Que ton cœur me vienne de toutes origines
Peu m'importe ses racines
La couleur de ta peau et celle de tes yeux
Me regarde si peu
Juste avant de tomber à genoux
Le visage couvert de sang et de boue
Elle prit son enfant dans ses bras
Et lui chanta son amour, pour la dernière fois
A vingt ans, elle était partie à la recherche d'une vérité
Non pas exposée, mais souillée en sa part d'ombre
Elle rencontra dans l'obscurité, ce que nul soleil ne serait montrer
D'où tu viens et qui tu fuis
Peu m'importe ton pays
Que ton cœur me vienne de toutes origines
Peu m'importe ses racines
La couleur de ta peau et celle de tes yeux
Me regarde si peu
Juste avant de tomber à genoux
Le visage couvert de sang et de boue
Elle prit son enfant dans ses bras
Et lui chanta son amour, pour la dernière fois
A vingt ans, elle était partie à la recherche d'une vérité
Non pas exposée, mais souillée en sa part d'ombre
Elle rencontra dans l'obscurité, ce que nul soleil ne serait montrer
Aujourd'hui encore, cette terre bénit se souvient de cette femme
Que ton cœur me vienne de toutes origines
Peu m'importe ses racines
D'où tu viens et qui tu fuis
Peu m'importe ton pays
Que ton cœur me vienne de toutes origines
Peu m'importe ses racines
La couleur de ta peau et celle de tes yeux
Me regarde si peu
Lesté d'un poids d'humanité
Les extraits du cœur des ténèbres
Avec ces milliers de mains coupées
Désignent les coupables !
Ceux qui répètent au fil des siècles
Que ton cœur me vienne de toutes origines
Peu m'importe ses racines
D'où tu viens et qui tu fuis
Peu m'importe ton pays
Que ton cœur me vienne de toutes origines
Peu m'importe ses racines
La couleur de ta peau et celle de tes yeux
Me regarde si peu
Lesté d'un poids d'humanité
Les extraits du cœur des ténèbres
Avec ces milliers de mains coupées
Désignent les coupables !
Ceux qui répètent au fil des siècles
Qu'ils ne savaient pas, peuvent toujours revivre cette page d'histoire
Qu'il n'est pas utile d'ouvrir en grand
Pour mieux ressentir la haine de son enfant
Que ton cœur me vienne de toutes origines
Peu m'importe ses racines
D'où tu viens et qui tu fuis
Peu m'importe ton pays
Que ton cœur me vienne de toutes origines
Peu m'importe ses racines
La couleur de ta peau et celle de tes yeux
Me regarde si peu
Qu'il n'est pas utile d'ouvrir en grand
Pour mieux ressentir la haine de son enfant
Que ton cœur me vienne de toutes origines
Peu m'importe ses racines
D'où tu viens et qui tu fuis
Peu m'importe ton pays
Que ton cœur me vienne de toutes origines
Peu m'importe ses racines
La couleur de ta peau et celle de tes yeux
Me regarde si peu
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