Paroles de la chanson Riding To New York (Traduction) par Passenger
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Paroles de la chanson Riding To New York (Traduction) par Passenger
Rouler vers New York
Bien, je l'ai rencontré dans le Minnesota,
Il était sombre et nébuleux
Avec une longue, chevelure grise et des yeux qui me
Transperçaient comme si j'étais en verre
Je demandais "Où allez-vous?"
Il répondit, "Je suis le vent je ne fais que souffler"
Il alluma une cigarette et se mit à parler.
Il dit:
"Le docteur a dit que mon corps ne me soutiendrait plus
Mes poumons sont devenus noirs
Bien, je l'ai rencontré dans le Minnesota,
Il était sombre et nébuleux
Avec une longue, chevelure grise et des yeux qui me
Transperçaient comme si j'étais en verre
Je demandais "Où allez-vous?"
Il répondit, "Je suis le vent je ne fais que souffler"
Il alluma une cigarette et se mit à parler.
Il dit:
"Le docteur a dit que mon corps ne me soutiendrait plus
Mes poumons sont devenus noirs
J'ai été un fou chanceux depuis que j'étais à l'école et il n'y a pas de retour possible
Ils ne peuvent pas me dire combien de temps il me reste
Peut-être des mois mais peut-être pas
Alors je prends ce vélo et je roule vers New York
Parce que je voudrais voir ma petite-fille une dernière fois,
Je voudrais la tenir contre moi et sentir son petit cœur battre près du mien.
Je voudrais voir mon fils et l'homme qu'il est devenu,
Lui dire que je suis désolé des choses que j'ai faites
Et je le ferais si je devais marcher
Oh, je prends ce vélo et je roule vers New York
Ils ne peuvent pas me dire combien de temps il me reste
Peut-être des mois mais peut-être pas
Alors je prends ce vélo et je roule vers New York
Parce que je voudrais voir ma petite-fille une dernière fois,
Je voudrais la tenir contre moi et sentir son petit cœur battre près du mien.
Je voudrais voir mon fils et l'homme qu'il est devenu,
Lui dire que je suis désolé des choses que j'ai faites
Et je le ferais si je devais marcher
Oh, je prends ce vélo et je roule vers New York
À travers les forêts du Wisconsin que je connaissais enfant,
Au-delà des paysages de Chicago
Autour des lacs de l'Illinois.
Je pose ma tête dans un lit de motel où mon dos est douloureux et mes yeux deviennent rouges,
J'ai écouté les camions rouler devant ma porte
À travers les champs de l'Ohio que le soleil peint d'or.
Je cours comme coule une rivière, rapide, prompte et froide.
Et vole à travers la Pennsylvanie et les péages à barrières de Jersey.
Et je n'arrêterai pas jusqu'à ce que j'arrive à New York.
Parce que je voudrais voir mon petit-fils une dernière fois
Je voudrais voir ses yeux pétillants se plonger à nouveau dans les miens.
Maintenant mon temps est plus court
Je voudrais voir ma fille,
Lui dire toutes les choses que j'aurais dû lui apprendre
Et je le ferais si je devais marcher
Oh, je prends ce vélo et je roule vers New York
Et j'irais jusqu'au cimetière, une dernière fois,
Poser des fleurs pour la femme qui m'a donné les meilleurs années de ma vie,
Et je le ferais si je devais marcher
Ouais je le ferais si je devais marcher
Je prends ce vélo et je roule vers New York."
Maintenant mon temps est plus court
Je voudrais voir ma fille,
Lui dire toutes les choses que j'aurais dû lui apprendre
Et je le ferais si je devais marcher
Oh, je prends ce vélo et je roule vers New York
Et j'irais jusqu'au cimetière, une dernière fois,
Poser des fleurs pour la femme qui m'a donné les meilleurs années de ma vie,
Et je le ferais si je devais marcher
Ouais je le ferais si je devais marcher
Je prends ce vélo et je roule vers New York."
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