Paroles de la chanson Le Petit Télégraphiste par Patrice Et Mario
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Paroles de la chanson Le Petit Télégraphiste par Patrice Et Mario
Avec sa casquette et sa petite sacoche au dos
Ah, mon Dieu, ah, mon Dieu, ah, qu'il était beau !
Sifflant à tue-tête, il s'en allait au boulot
Qu'il fasse froid, qu'il fasse chaud, sur son beau vélo
Le petit télégraphiste
Comme ses amis les moineaux
Avait une âme d'artiste
Une voix de ténorino
Un petit cœur d'artichaut
Il filait comme une flèche
Et rien ne pouvait l'arrêter
Car lorsqu'on a des dépêches
Ah, mon Dieu, ah, mon Dieu, ah, qu'il était beau !
Sifflant à tue-tête, il s'en allait au boulot
Qu'il fasse froid, qu'il fasse chaud, sur son beau vélo
Le petit télégraphiste
Comme ses amis les moineaux
Avait une âme d'artiste
Une voix de ténorino
Un petit cœur d'artichaut
Il filait comme une flèche
Et rien ne pouvait l'arrêter
Car lorsqu'on a des dépêches
Il faut surtout se dépêcher
Et du matin au soir
Pour se faire des pourboires
On le voyait monter
Et redescendre les escaliers
Le petit télégraphiste
Tel un envoyé du destin
Arrivait à l'improviste
Son petit papier à la main
Une petite soubrette, certain jour, vint lui ouvrir
Ah, mon Dieu, ah, mon Dieu, avec quel sourire !
De jolies fossettes et des yeux à en mourir
Il eut froid, il eut chaud, mais ce qui fut pire
Et du matin au soir
Pour se faire des pourboires
On le voyait monter
Et redescendre les escaliers
Le petit télégraphiste
Tel un envoyé du destin
Arrivait à l'improviste
Son petit papier à la main
Une petite soubrette, certain jour, vint lui ouvrir
Ah, mon Dieu, ah, mon Dieu, avec quel sourire !
De jolies fossettes et des yeux à en mourir
Il eut froid, il eut chaud, mais ce qui fut pire
Le petit télégraphiste
En la voyant devint muet
Avec une âme d'artiste
Quand l'amour vous apparaît
Ça vous fait un drôle d'effet
Pour lui témoigner sa flamme
Il aurait bien voulu rester
Mais y avait les télégrammes
Qui, eux, sont toujours très pressés
Alors, quand vint le soir
Avec tous ses pourboires
Il acheta des fleurs
Qu'il lui offrit avec son cœur
Pas besoin d'être prophète
La suite, vous la devinez
La jolie petite soubrette
En la voyant devint muet
Avec une âme d'artiste
Quand l'amour vous apparaît
Ça vous fait un drôle d'effet
Pour lui témoigner sa flamme
Il aurait bien voulu rester
Mais y avait les télégrammes
Qui, eux, sont toujours très pressés
Alors, quand vint le soir
Avec tous ses pourboires
Il acheta des fleurs
Qu'il lui offrit avec son cœur
Pas besoin d'être prophète
La suite, vous la devinez
La jolie petite soubrette
Elle aussi se mit à l'aimer
Le petit télégraphiste,
Pour elle, voulut se faire un nom
Et dans les milieux cyclistes
Il partit sans faire de bruit
Il devint un grand champion
Dans les rues, dans les écoles
On se racontait ses exploits
Partout il était l'idole
Mais lui ne s'en faisait pas pour ça
Et un jour de succès
Alors qu'on l'acclamait
A sa petite soubrette
Il murmura, baissant la tête
"Dans mon cœur, toi seule existes
Le petit télégraphiste,
Pour elle, voulut se faire un nom
Et dans les milieux cyclistes
Il partit sans faire de bruit
Il devint un grand champion
Dans les rues, dans les écoles
On se racontait ses exploits
Partout il était l'idole
Mais lui ne s'en faisait pas pour ça
Et un jour de succès
Alors qu'on l'acclamait
A sa petite soubrette
Il murmura, baissant la tête
"Dans mon cœur, toi seule existes
Tout ce que j'ai fait, c'est pour toi
Ton petit télégraphiste
Veut passer une bague à ton doigt
Veut passer une bague à ton doigt
Ton petit télégraphiste
Veut passer une bague à ton doigt
Veut passer une bague à ton doigt
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