Paroles de la chanson Les chaises vides par Patrick Bruel
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Paroles de la chanson Les chaises vides par Patrick Bruel
On aura beau chercher le pourquoi du comment
La vie bascule sans prévenir
Les hommes donnent ce qu'ils ont de pire
Et puis... on aura beau parler,
En parler aux enfants
Pour ne pas blesser la mémoire
Pouvoir affronter les miroirs
Il restera...
Tout ce qu'il y avait autour
D'une vie, d'une voix, de tant d'histoires d'amour
Toute la douleur de ce jour
Sans sursis ni recours
Ces silences tellement sourds
Mais qu'est-ce qu'on fait des chaises vides ?
La vie bascule sans prévenir
Les hommes donnent ce qu'ils ont de pire
Et puis... on aura beau parler,
En parler aux enfants
Pour ne pas blesser la mémoire
Pouvoir affronter les miroirs
Il restera...
Tout ce qu'il y avait autour
D'une vie, d'une voix, de tant d'histoires d'amour
Toute la douleur de ce jour
Sans sursis ni recours
Ces silences tellement sourds
Mais qu'est-ce qu'on fait des chaises vides ?
Celles des écoles, celles des concerts ?
Les chaises des repas de famille
Sans parler des anniversaires ?
Elles nous observent les chaises vides
Elles sont d'un silence exemplaire
Même si c'est que du bois aride
Nos larmes regardent et on espère.
On aura beau mentir, dire que ça va passer
Le chagrin glisse et nous devance
Sans nous laisser la moindre chance
Et puis... on aura beau maudire
Ceux qui leur ont volé
L'ivresse qui coulait de leurs hanches
La beauté de leur corps qui dansent
Il restera...
Ce que l'on dira d'eux
Un poème, un combat
Les chaises des repas de famille
Sans parler des anniversaires ?
Elles nous observent les chaises vides
Elles sont d'un silence exemplaire
Même si c'est que du bois aride
Nos larmes regardent et on espère.
On aura beau mentir, dire que ça va passer
Le chagrin glisse et nous devance
Sans nous laisser la moindre chance
Et puis... on aura beau maudire
Ceux qui leur ont volé
L'ivresse qui coulait de leurs hanches
La beauté de leur corps qui dansent
Il restera...
Ce que l'on dira d'eux
Un poème, un combat
Pour n'pas baisser les yeux
Le souvenir qu'on leur doit
Comme on souffle sur un feu
Pour qu'il ne meure pas
Mais qu'est-ce qu'on fait des chaises vides ?
Celles des écoles, celles des concerts ?
Les chaises des repas de famille
Sans parler des anniversaires ?
Elles nous observent les chaises vides
C'est le seul silence que j'accepte
Même si c'est que du bois aride
Nos larmes coulent, l'histoire se répète
Il y a aussi des chaises vides
De l'autre côté de la frontière
Quand elles font face aux yeux humides
D'un père, d'une sœur ou d'une mère
Le souvenir qu'on leur doit
Comme on souffle sur un feu
Pour qu'il ne meure pas
Mais qu'est-ce qu'on fait des chaises vides ?
Celles des écoles, celles des concerts ?
Les chaises des repas de famille
Sans parler des anniversaires ?
Elles nous observent les chaises vides
C'est le seul silence que j'accepte
Même si c'est que du bois aride
Nos larmes coulent, l'histoire se répète
Il y a aussi des chaises vides
De l'autre côté de la frontière
Quand elles font face aux yeux humides
D'un père, d'une sœur ou d'une mère
Mais qu'est-ce qu'on fait des chaises vides ?
Celles que leur vie a déserté
Ils étaient si beaux, si candides,
Dans cet octobre meurtrier
Elles nous observent les chaises vides
Leur silence est triste à crever
Même si c'est que du bois aride
Qu'elles nous disent qu'ils vont rentrer !
Celles que leur vie a déserté
Ils étaient si beaux, si candides,
Dans cet octobre meurtrier
Elles nous observent les chaises vides
Leur silence est triste à crever
Même si c'est que du bois aride
Qu'elles nous disent qu'ils vont rentrer !
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