Paroles de la chanson Mon Monde par Pep's
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Paroles de la chanson Mon Monde par Pep's
Il faut chercher au fond de soi
Parfois la couleur d'un autre moi
Il faut chercher au fond de soi
Parfois la couleur d'un autre moi
Des fois que la douceur serait par là
Qui sait la douleur nous réchauffera
Et puis vient la découverte soudaine
Au plus profond chère chair humaine
Se cache au lumière incertaine
Rallumons là, nommons la reine
Heureusement, il y a ces gens
Qui soufflent, qui soufflent contre ce vent
Au Nord on se protège du sang
Parfois la couleur d'un autre moi
Il faut chercher au fond de soi
Parfois la couleur d'un autre moi
Des fois que la douceur serait par là
Qui sait la douleur nous réchauffera
Et puis vient la découverte soudaine
Au plus profond chère chair humaine
Se cache au lumière incertaine
Rallumons là, nommons la reine
Heureusement, il y a ces gens
Qui soufflent, qui soufflent contre ce vent
Au Nord on se protège du sang
Au Sud, on saigne abondamment
Mais parfois, le feu s'éteint
La machine prend la vie en main
Les dents qui poussent au moindre dollar
Profit, profit, profitons des milliards
Milliards de gens, aux ventres ronds
Mais pas pour des indigestions
Milliards de gens aux ventres ronds
Et nous les rois, et nos millions
(Refrain :)
OH mon monde, OH ma souffrance
OH ma colombe, ma douce France
Il paraîtrait qu'il y a un sens
Dans nos enfants, tant d'évidence
Mais parfois, le feu s'éteint
La machine prend la vie en main
Les dents qui poussent au moindre dollar
Profit, profit, profitons des milliards
Milliards de gens, aux ventres ronds
Mais pas pour des indigestions
Milliards de gens aux ventres ronds
Et nous les rois, et nos millions
(Refrain :)
OH mon monde, OH ma souffrance
OH ma colombe, ma douce France
Il paraîtrait qu'il y a un sens
Dans nos enfants, tant d'évidence
On a créé la grande Europe
Mais va-t-elle baisser sa culotte
Est-ce pour, contre, Américanisation
Ou pour être deux en compétition
A voilà donc, la grande question
A voilà donc, ma grande question
Oui, c'est à vous que je m'adresse
Vous, Homme d'état, Homme de bassesses
Vous jouez les mots, comme de nos vies
Mais on existe à l'infini
Méfiez-vous, Messieurs les Présidents
Des brebis qui depuis quelques temps
Se changent en loup, au mauvais temps
Se changent en loup, au mauvais temps
Mais va-t-elle baisser sa culotte
Est-ce pour, contre, Américanisation
Ou pour être deux en compétition
A voilà donc, la grande question
A voilà donc, ma grande question
Oui, c'est à vous que je m'adresse
Vous, Homme d'état, Homme de bassesses
Vous jouez les mots, comme de nos vies
Mais on existe à l'infini
Méfiez-vous, Messieurs les Présidents
Des brebis qui depuis quelques temps
Se changent en loup, au mauvais temps
Se changent en loup, au mauvais temps
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