Paroles de la chanson Vieille Star par Phil Barney
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Paroles de la chanson Vieille Star par Phil Barney
Les yeux fermés pour cause d'inventaire
Elle se balançait dans un vieux rockin' chair
Dans son jardin d'hiver, il faisait toujours bon
Se mettre le coeur au vert et au fil des saisons
Elle s'offrait des récrés, elle faisait le bilan
Des bonheurs égarés dans les brouillards du temps
Enfuis les fans, fanées les fleurs
Elle avait quitté la Goldwyn
Et vieillissait à contre-coeur
Dans un fauteuil de moleskine
Elle laissait défiler les images d'hier
La pluie de ses amours et leurs coups de tonnerre
Elle se balançait dans un vieux rockin' chair
Dans son jardin d'hiver, il faisait toujours bon
Se mettre le coeur au vert et au fil des saisons
Elle s'offrait des récrés, elle faisait le bilan
Des bonheurs égarés dans les brouillards du temps
Enfuis les fans, fanées les fleurs
Elle avait quitté la Goldwyn
Et vieillissait à contre-coeur
Dans un fauteuil de moleskine
Elle laissait défiler les images d'hier
La pluie de ses amours et leurs coups de tonnerre
L'eau bleue de ses yeux avait fait couler l'encre
Des journaux du soir quand, dans les années trente,
Elle était une star et qu'au fond d' sa berline
Battait le coeur d'un tsar sur sa cape de zibeline
Enfuis les fans, fanées les fleurs
Elle avait quitté la Goldwyn
Et vieillissait à contre-coeur
Dans un fauteuil de moleskine
Aujourd'hui, ses visons sentent la naphtaline
Et son corps fatigué boude l'eau d' la piscine
Le temps avait usé son visage de Madone
Sous le ciel de son lit ne dort plus personne
Enfuis les fans, fanées les fleurs
Des journaux du soir quand, dans les années trente,
Elle était une star et qu'au fond d' sa berline
Battait le coeur d'un tsar sur sa cape de zibeline
Enfuis les fans, fanées les fleurs
Elle avait quitté la Goldwyn
Et vieillissait à contre-coeur
Dans un fauteuil de moleskine
Aujourd'hui, ses visons sentent la naphtaline
Et son corps fatigué boude l'eau d' la piscine
Le temps avait usé son visage de Madone
Sous le ciel de son lit ne dort plus personne
Enfuis les fans, fanées les fleurs
Elle avait quitté la Goldwyn
Et vieillissait à contre-coeur
Dans un fauteuil de moleskine
Et vieillissait à contre-coeur
Dans un fauteuil de moleskine
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