Paroles de la chanson Les fleurs d'une autre dimension par Pierre Lapointe
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Paroles de la chanson Les fleurs d'une autre dimension par Pierre Lapointe
Toutes les fleurs qui poussent reviennent comme les saisons
Même si on les coupe, elles refleuriront
Quand par amour on donne leurs cadavres jolis
Toujours elles nous pardonnent de leur enlever la vie
Leurs parfums angéliques de tout temps nous séduisent
Illusions alchimiques qui jamais ne s′épuisent
Elles pleurent souvent les choix que nous faisons
Et rêvent que l'on soit un jour un peu moins cons
Peut-être qu′elles sont là simplement pour rappeler
Même si on les coupe, elles refleuriront
Quand par amour on donne leurs cadavres jolis
Toujours elles nous pardonnent de leur enlever la vie
Leurs parfums angéliques de tout temps nous séduisent
Illusions alchimiques qui jamais ne s′épuisent
Elles pleurent souvent les choix que nous faisons
Et rêvent que l'on soit un jour un peu moins cons
Peut-être qu′elles sont là simplement pour rappeler
Le décevant constat de notre humanité
Un jour elles sont belles, mais sitôt contrariées
Elles battent de l'aile, abdiquent sans batailler
Ne sommes-nous pas les fleurs d'une autre dimension
Fleurissant quelques heures le temps d′une chanson
Accumulant amours, guerres et trahisons
Pour oublier le jour où tous nous fanerons
Je n′offre pas de fleurs aux gens que j'aime bien
Elles me font trop peur, me rappellent la fin
Je préfère des yeux les voir sans les toucher
Laisser les vents joyeux abîmer leur beauté
Un jour elles sont belles, mais sitôt contrariées
Elles battent de l'aile, abdiquent sans batailler
Ne sommes-nous pas les fleurs d'une autre dimension
Fleurissant quelques heures le temps d′une chanson
Accumulant amours, guerres et trahisons
Pour oublier le jour où tous nous fanerons
Je n′offre pas de fleurs aux gens que j'aime bien
Elles me font trop peur, me rappellent la fin
Je préfère des yeux les voir sans les toucher
Laisser les vents joyeux abîmer leur beauté
Le jour où sur la Terre elles auront disparu
Je sais, du moins j′espère, que nous n'y serons plus
Que régnera en maître un silence grandiose
Et qu′enfin pourront naître sans désordre les choses
Le jour où sur la Terre elles auront disparu
Je sais, du moins j'espère, que nous n′y serons plus
Que régnera en maître un silence grandiose
Et qu'enfin pourront naître sans désordre les choses
Je sais, du moins j′espère, que nous n'y serons plus
Que régnera en maître un silence grandiose
Et qu′enfin pourront naître sans désordre les choses
Le jour où sur la Terre elles auront disparu
Je sais, du moins j'espère, que nous n′y serons plus
Que régnera en maître un silence grandiose
Et qu'enfin pourront naître sans désordre les choses
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