Paroles de la chanson Ay si tu m'avais vu señor par Pierre Perret
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Paroles de la chanson Ay si tu m'avais vu señor par Pierre Perret
Quand j'étais gosse je créchais rue Mouffetard
C'était vieux, sans espoir, ça sentait le suppositoire
Dans ma vieille chambre y avait de vieux cafards
Un vieux chien, un vieux chat et un vieux rat dans le vieux placard
J'allais dans une vieille école
Un vieux professeur nous donnait de vieilles leçons
Quand j'attrapais des heures de vieilles colles
Mon vieux père me filait au retour
Quelques vieux gnons
Aye si tu m'avais vu señor
J'étais pas grand, j'étais pas fort
J'étais pas encore plein aux as
C'était vieux, sans espoir, ça sentait le suppositoire
Dans ma vieille chambre y avait de vieux cafards
Un vieux chien, un vieux chat et un vieux rat dans le vieux placard
J'allais dans une vieille école
Un vieux professeur nous donnait de vieilles leçons
Quand j'attrapais des heures de vieilles colles
Mon vieux père me filait au retour
Quelques vieux gnons
Aye si tu m'avais vu señor
J'étais pas grand, j'étais pas fort
J'étais pas encore plein aux as
Avec six femmes à Caracas
On était tristes, affamés tristement
Onze lardons, quel naufrage, ma mère chialait dans le potage
Y a que le grand-père qui se poilait tout le temps
Il planquait des pétards sous le pétrousquin de la mère-grand
Au milieu d'une telle débine
Je m'amusais régulièrement tous les matins
Au mécano avec ma cousine
Qui voulait visser son nombril avec le mien
Aye si tu m'avais vu señor
J'étais pas grand, j'étais pas fort
Je demandais encore pardon
Chaque fois qu'on me traitait de...
On était tristes, affamés tristement
Onze lardons, quel naufrage, ma mère chialait dans le potage
Y a que le grand-père qui se poilait tout le temps
Il planquait des pétards sous le pétrousquin de la mère-grand
Au milieu d'une telle débine
Je m'amusais régulièrement tous les matins
Au mécano avec ma cousine
Qui voulait visser son nombril avec le mien
Aye si tu m'avais vu señor
J'étais pas grand, j'étais pas fort
Je demandais encore pardon
Chaque fois qu'on me traitait de...
Puis vint la chance, j'entrai dans un bureau
Je réchauffai ma gamelle près de celle du chef du personnel
L'amour lui-même plaça sur mon chemin
Ma fiancée, miches de serin, qui avait l'œil gauche tellement câlin
Cette beauté s'appelait Élise
Et elle savait parler latin comme un seul homme
Chaque fois que j'y cloquais la bise
Elle disait "arretum cochon, tu m'excitum"
Aye si tu m'avais vu señor
J'étais pas grand, j'étais pas fort
J'avais peur des grands de ce monde
On m'appelait pas encore James Bond
Je réchauffai ma gamelle près de celle du chef du personnel
L'amour lui-même plaça sur mon chemin
Ma fiancée, miches de serin, qui avait l'œil gauche tellement câlin
Cette beauté s'appelait Élise
Et elle savait parler latin comme un seul homme
Chaque fois que j'y cloquais la bise
Elle disait "arretum cochon, tu m'excitum"
Aye si tu m'avais vu señor
J'étais pas grand, j'étais pas fort
J'avais peur des grands de ce monde
On m'appelait pas encore James Bond
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