Paroles de la chanson Vendredi 13 par Pigalle
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Paroles de la chanson Vendredi 13 par Pigalle
Sur cette route poussiéreuse, il ne passait personne
Que faisait-elle plantée la dans la station, tout là-bas ?
A quoi ça sert, dites moi de vendre de l'essence
Quand il n'y a plus rien ensuite qu'une falaise de granit ?
Elle, elle s'en foutait bien.
La fille en salopette
S'étiolait là.
Oubliée là.
Pour attendre quoi ?
Servir des gens qui ne viendraient plus jamais jusque là.
Vendredi 13. Il était tard. Le temps était lourd. Elle s'endormait à moitié. Le bruit la fit sursauter
Que faisait-elle plantée la dans la station, tout là-bas ?
A quoi ça sert, dites moi de vendre de l'essence
Quand il n'y a plus rien ensuite qu'une falaise de granit ?
Elle, elle s'en foutait bien.
La fille en salopette
S'étiolait là.
Oubliée là.
Pour attendre quoi ?
Servir des gens qui ne viendraient plus jamais jusque là.
Vendredi 13. Il était tard. Le temps était lourd. Elle s'endormait à moitié. Le bruit la fit sursauter
Le tonnerre du semi-remorque fit trembler les murs de la station décrépie et puis le silence se fit.
Elle avance doucement vers la cabine bleue d'où sortit un grand gaillard
Comme dans les histoires, par hasard
Elle, ses jambes la lâchaient tellement elle tremblait
Pourtant un jour, ça devait arriver
Mais elle, elle croyait rêver
Et la vie comme une toupie se mit à tourner
De plus en plus vite
S'emballer
S'affoler
C'était lui mais ça aurait pu être n'importe qui.
Elle avance doucement vers la cabine bleue d'où sortit un grand gaillard
Comme dans les histoires, par hasard
Elle, ses jambes la lâchaient tellement elle tremblait
Pourtant un jour, ça devait arriver
Mais elle, elle croyait rêver
Et la vie comme une toupie se mit à tourner
De plus en plus vite
S'emballer
S'affoler
C'était lui mais ça aurait pu être n'importe qui.
Vendredi 13. Il était tard. Le temps était lourd. Ils n'ont même pas dit un mot.
Mais son souffle était si chaud sur son corps solitaire, depuis combien de temps déjà ?
Elle fixait la lune blanche en s'accrochant à ses hanches.
Quand le jour se leva sur la station service
Ils étaient comme soudés à même le sol tout huilé.
Elle lui fit un café avec des gestes gauches
Il but et dit merci d'un signe qui disait salut aussi
Vendredi 13. Il était tard. Le temps était lourd. Mais tout ça c'était hier, une impression passagère.
Elle refit sa coiffure tant bien que mal.
Mais son souffle était si chaud sur son corps solitaire, depuis combien de temps déjà ?
Elle fixait la lune blanche en s'accrochant à ses hanches.
Quand le jour se leva sur la station service
Ils étaient comme soudés à même le sol tout huilé.
Elle lui fit un café avec des gestes gauches
Il but et dit merci d'un signe qui disait salut aussi
Vendredi 13. Il était tard. Le temps était lourd. Mais tout ça c'était hier, une impression passagère.
Elle refit sa coiffure tant bien que mal.
Mais sa tête bourdonnait.
Elle revoyait ce Vendredi 13 dans son souvenir, l'homme n'avait plus de visage
Mais ses mains comme un message lui disaient qu'elle était belle
Qu'elle ne serait plus jamais seule et en souriant elle se dit qu'en ce joli samedi,
Elle quitterait le pays.
Elle revoyait ce Vendredi 13 dans son souvenir, l'homme n'avait plus de visage
Mais ses mains comme un message lui disaient qu'elle était belle
Qu'elle ne serait plus jamais seule et en souriant elle se dit qu'en ce joli samedi,
Elle quitterait le pays.
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