Paroles de la chanson Méli-mélopée par Plume Latraverse
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Paroles de la chanson Méli-mélopée par Plume Latraverse
Prends ton étoile, voyageur clandestin
Et lève les voiles dans la brûme du matin...
Laisse faire les routes trop belles
Coupe à travers les ruelles
Cette voix qui t'appelle
Viendra défricher ton chemin
Et tes mains trouveront le moyen
De tenir la vie et d'y mourir enfin...
Prends ton étoile, tes chansons, tes chagrins
Que se dévoile ton fruit dans tous ses grains...
Que la création vienne
Ta vie sera la sienne
Ton âme magicienne
S'éclatera entre ses reins
Et tes mains trouveront le moyen
Et lève les voiles dans la brûme du matin...
Laisse faire les routes trop belles
Coupe à travers les ruelles
Cette voix qui t'appelle
Viendra défricher ton chemin
Et tes mains trouveront le moyen
De tenir la vie et d'y mourir enfin...
Prends ton étoile, tes chansons, tes chagrins
Que se dévoile ton fruit dans tous ses grains...
Que la création vienne
Ta vie sera la sienne
Ton âme magicienne
S'éclatera entre ses reins
Et tes mains trouveront le moyen
De tenir la vie et d'y mourir enfin...
Prends ton étoile et l'espace dans tes mains
Tisse ta toile, brosse tes lendemains...
Laisse aller l'esclavage
Reprends ta vie sauvage
Et que le grand ménage
Puisse alors te mener à rien!
Quand tes mains trouveront le moyen
De tenir la vie et d'y mourir enfin...
Cris d'amour...
Qui résonnent dans la nuit des temps
Bruits qui courent... et qui meurent quand le soir descend
Le matin s'est levé sans attendre
Que la nuit renaisse de ses cendres
Prends ton étoile et l'espace dans tes mains
Tisse ta toile, brosse tes lendemains...
Laisse aller l'esclavage
Reprends ta vie sauvage
Et que le grand ménage
Puisse alors te mener à rien!
Quand tes mains trouveront le moyen
De tenir la vie et d'y mourir enfin...
Cris d'amour...
Qui résonnent dans la nuit des temps
Bruits qui courent... et qui meurent quand le soir descend
Le matin s'est levé sans attendre
Que la nuit renaisse de ses cendres
Cris d'amour...
Se fanant comme l'esprit des fleurs
Sans retour... perdant, chaque jour, de leurs couleurs
Je sais bien que la vie fait en sorte
Que l'espoir viennent glisser sous la porte
Nuit sans fin où s'abîment les rêves
Comme les vagues s'égosillent sur la grève
Cris d'amour...
Étouffés par trop d'habitudes
Suivent leur cours
Se moulant dans la solitude
Le destin prend la vie, l'envoie paître
Comme le chien tient en laisse son maître
Se fanant comme l'esprit des fleurs
Sans retour... perdant, chaque jour, de leurs couleurs
Je sais bien que la vie fait en sorte
Que l'espoir viennent glisser sous la porte
Nuit sans fin où s'abîment les rêves
Comme les vagues s'égosillent sur la grève
Cris d'amour...
Étouffés par trop d'habitudes
Suivent leur cours
Se moulant dans la solitude
Le destin prend la vie, l'envoie paître
Comme le chien tient en laisse son maître
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