Paroles de la chanson Les Jonquilles par Polo
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Paroles de la chanson Les Jonquilles par Polo
S’il faut que l’on parle des filles
Il faut que l’on parle au passé
Moi,
J’aurai toujours une pensée
Pour celles qui m’ont vu passer
Le long des routes et sur le bord des fossés
Elles chuchotaient sous le vent
Elles discutaient du beau temps
Alignées comme des quilles
Jeunes familles de jonquilles
Et moi, j’en faisais des bouquets
J’en pinçais pour la botanique
Que voulez-vous je suis un homme qui aime les fleurs
Il faut que l’on parle au passé
Moi,
J’aurai toujours une pensée
Pour celles qui m’ont vu passer
Le long des routes et sur le bord des fossés
Elles chuchotaient sous le vent
Elles discutaient du beau temps
Alignées comme des quilles
Jeunes familles de jonquilles
Et moi, j’en faisais des bouquets
J’en pinçais pour la botanique
Que voulez-vous je suis un homme qui aime les fleurs
J’aime leur métaphysique
L’art de leurs formes
Je n’aime rien tant que leurs jolies couleurs
Clochette née sans soucis
Voiles légers de la vie
Des courants d’air ont fait battre mon cœur
D’énormes brassées de jonquilles
Qui ne se sont jamais ternies
Comme dans un rêve
Moteur qui tourne
Fenêtres ouvertes
Cheveux dans l’eau
Je t’aime aussi
Tes yeux sont remplis
De gouttes de pluie
L’art de leurs formes
Je n’aime rien tant que leurs jolies couleurs
Clochette née sans soucis
Voiles légers de la vie
Des courants d’air ont fait battre mon cœur
D’énormes brassées de jonquilles
Qui ne se sont jamais ternies
Comme dans un rêve
Moteur qui tourne
Fenêtres ouvertes
Cheveux dans l’eau
Je t’aime aussi
Tes yeux sont remplis
De gouttes de pluie
Bain de jeunesse et de jouvence
De cigarettes et de baisers
Les routes sentaient l’essence
La délivrance
La liberté
Jeunes pétales naissants
Magiciennes de quinze ans
Coloriées comme des billes
Je me souviendrai des jonquilles
Quand viendra mon dernier printemps.
Pourquoi l’été me rend il triste
Quand je vois ses robes passer
Lui qui faisait mes délices
Mes espérances
Mes voluptés
De cigarettes et de baisers
Les routes sentaient l’essence
La délivrance
La liberté
Jeunes pétales naissants
Magiciennes de quinze ans
Coloriées comme des billes
Je me souviendrai des jonquilles
Quand viendra mon dernier printemps.
Pourquoi l’été me rend il triste
Quand je vois ses robes passer
Lui qui faisait mes délices
Mes espérances
Mes voluptés
Des parfums deviennent lourds
Des fruits tombent dans la cour
Le ciel se vide et les feuilles jaunissent
Pourquoi l’été me rend-il triste
Alors que je l’ai tant aimé
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