Paroles de la chanson Son Cabaret par Porte des Lilas
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Paroles de la chanson Son Cabaret par Porte des Lilas
Un haut-de-forme, un boa, des talons
Un porte-cigarettes, une paire de bas nylons
Elle se pose d’un regard décidé
Sur une chaise, les jambes décroisées
Il lui suffit d’un léger signe de la tête
Pour que le pianiste attaque d’une main de maître
Des vagues de Kurt Weill en accords
Qui font ressac le long de son corps
Et quand, d’un coup elle se lève
Les hommes sont pendus à ses lèvres
Et rêvent de vivre à jamais
Au cœur de son cabaret
Et quand elle descend les marches
Faisant mine qu’elle s’amourache
Le bonheur se lit dans les nuages
Un porte-cigarettes, une paire de bas nylons
Elle se pose d’un regard décidé
Sur une chaise, les jambes décroisées
Il lui suffit d’un léger signe de la tête
Pour que le pianiste attaque d’une main de maître
Des vagues de Kurt Weill en accords
Qui font ressac le long de son corps
Et quand, d’un coup elle se lève
Les hommes sont pendus à ses lèvres
Et rêvent de vivre à jamais
Au cœur de son cabaret
Et quand elle descend les marches
Faisant mine qu’elle s’amourache
Le bonheur se lit dans les nuages
De fumée, de partage
Son cabaret, c’est tout ce qu’elle a
Son cabaret, c’est tout ce qu’elle est
Elle y est tour à tour Frida
Marlène ou celle que vous voudrez
Souvent des énergumènes sans talents
Viennent lui faire miroiter tout leur argent
Mais la belle ne saurait trop qu’en faire
Chaque soir elle a de l’or pour lumière
Et quand arrivent les nuits de pleine lune
Des ailes blanches poussent sur ses costumes
Et en se balançant du haut de son trapèze
Elle trouve le monde bien plus à son aise
Et quand, d’un coup elle se lève
Les hommes sont pendus à ses lèvres
Et rêvent de vivre à jamais
Au cœur de son cabaret
Et quand elle descend les marches
Son cabaret, c’est tout ce qu’elle a
Son cabaret, c’est tout ce qu’elle est
Elle y est tour à tour Frida
Marlène ou celle que vous voudrez
Souvent des énergumènes sans talents
Viennent lui faire miroiter tout leur argent
Mais la belle ne saurait trop qu’en faire
Chaque soir elle a de l’or pour lumière
Et quand arrivent les nuits de pleine lune
Des ailes blanches poussent sur ses costumes
Et en se balançant du haut de son trapèze
Elle trouve le monde bien plus à son aise
Et quand, d’un coup elle se lève
Les hommes sont pendus à ses lèvres
Et rêvent de vivre à jamais
Au cœur de son cabaret
Et quand elle descend les marches
Faisant mine qu’elle s’amourache
Le bonheur se lit dans les nuages
De fumée, de partage
Son cabaret, c’est tout ce qu’elle a
Son cabaret, c’est tout ce qu’elle est
Elle y est tour à tour Frida
Marlène ou celle que vous voudrez
Le bonheur se lit dans les nuages
De fumée, de partage
Son cabaret, c’est tout ce qu’elle a
Son cabaret, c’est tout ce qu’elle est
Elle y est tour à tour Frida
Marlène ou celle que vous voudrez
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