Paroles de la chanson Les Oiseaux par PPFC
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Paroles de la chanson Les Oiseaux par PPFC
Nous les oiseaux des villes obscures
Postés à l'arrêt chaque jour que Dieu fait
Attendre qu'elle tombe, qu'elle vienne engloutir le soir
Qu'elle daigne revêtir sa robe noire
Attendre qu'une seule chose que le ciel se déchire enfin
Que nos coeurs se reposent avant de se remplir
Si j'étais c'est à cause de la lueur de tes feux
Des voiles que tu étends sous corps lentement
Sous ton corps lentement
Sous ton corps lentement
Entrer dans le tunnel par la grande porte
Le soleil rouge se couche
Postés à l'arrêt chaque jour que Dieu fait
Attendre qu'elle tombe, qu'elle vienne engloutir le soir
Qu'elle daigne revêtir sa robe noire
Attendre qu'une seule chose que le ciel se déchire enfin
Que nos coeurs se reposent avant de se remplir
Si j'étais c'est à cause de la lueur de tes feux
Des voiles que tu étends sous corps lentement
Sous ton corps lentement
Sous ton corps lentement
Entrer dans le tunnel par la grande porte
Le soleil rouge se couche
Tous les mouvements s'arrêtent
Le calme avant la tempête
Le silence entre parenthèse
Toi la nuit ma grande soeur
On va se perdre ensemble
Emmène moi avec toi
Emmène moi on s'en va
Je vois les choses autrement, bien plus belle qu'avant
Au rayon je préfère les instants noir et blanc
Si tu ne bouge pas moi je reste là
Fasciné par la toile, nos rêves d'enfant
Alors de plus en plus légers nos corps se délient
Une armée d'irokwa dans une ombre infinie
Et pour l'éternité le ciel nous envoie te retrouver
Le calme avant la tempête
Le silence entre parenthèse
Toi la nuit ma grande soeur
On va se perdre ensemble
Emmène moi avec toi
Emmène moi on s'en va
Je vois les choses autrement, bien plus belle qu'avant
Au rayon je préfère les instants noir et blanc
Si tu ne bouge pas moi je reste là
Fasciné par la toile, nos rêves d'enfant
Alors de plus en plus légers nos corps se délient
Une armée d'irokwa dans une ombre infinie
Et pour l'éternité le ciel nous envoie te retrouver
Nous les oiseaux des villes obscures
Postés à l'arrêt chaque jour que Dieu fait
Attendre qu'elle tombe, qu'elle vienne engloutir le soir
Qu'elle daigne revêtir sa robe noire
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