Paroles de la chanson Ma Ville par PPFC
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Paroles de la chanson Ma Ville par PPFC
Ma ville est pleine de rues qui se croisent
D'allées, d'honneur, d'impasses, de vieilles maisons bourgeoises
Le soir quand on s'promène à travers les carreaux
On aperçoit les lumières
Mais jamais ce qui s'y passent c'est surement pas très beau
C'est surement pour de faux
Le mystère reste entier, le vase entièrement clos
Si pour un temps seulement je m'éloigne de toi
Aussi vite je rapplique et tu m'ouvres tes bras
Ma ville a bien changé depuis, depuis le dernier été
D'allées, d'honneur, d'impasses, de vieilles maisons bourgeoises
Le soir quand on s'promène à travers les carreaux
On aperçoit les lumières
Mais jamais ce qui s'y passent c'est surement pas très beau
C'est surement pour de faux
Le mystère reste entier, le vase entièrement clos
Si pour un temps seulement je m'éloigne de toi
Aussi vite je rapplique et tu m'ouvres tes bras
Ma ville a bien changé depuis, depuis le dernier été
N'en finissent pas de tomber nos images du passé
Je n'la reconnais plus, c'est vrai j'voulais qu'elle reste comme avant
Je n'la reconnais plus, c'est vrai j'voulais rester son enfant
Ma ville son âme repose sur un banc
Creusé à la lame du nom de ses amants
Elle en a vu défilé des passades égarées, des histoires de condés dispersés sur le champs
Ma ville se donne tous les soirs mais putain c'qu'elle est triste
Qu'elle fait peine à voir
Ma ville est une actrice, ô rage, ô désespoir
Ma ville est une actrice qui perd la mémoire
(x2)
Je n'la reconnais plus, c'est vrai j'voulais qu'elle reste comme avant
Je n'la reconnais plus, c'est vrai j'voulais rester son enfant
Ma ville son âme repose sur un banc
Creusé à la lame du nom de ses amants
Elle en a vu défilé des passades égarées, des histoires de condés dispersés sur le champs
Ma ville se donne tous les soirs mais putain c'qu'elle est triste
Qu'elle fait peine à voir
Ma ville est une actrice, ô rage, ô désespoir
Ma ville est une actrice qui perd la mémoire
(x2)
Ma ville a bien changé depuis, depuis le dernier été
N'en finissent pas de tomber nos images du passé
Je n'la reconnais plus, c'est vrai j'voulais qu'elle reste comme avant
Je n'la reconnais plus, c'est vrai j'voulais rester son enfant
N'en finissent pas de tomber nos images du passé
Je n'la reconnais plus, c'est vrai j'voulais qu'elle reste comme avant
Je n'la reconnais plus, c'est vrai j'voulais rester son enfant
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