Paroles de la chanson Vertige par Primero

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Paroles de la chanson Vertige par Primero

Chaque soir hypnotisé par le ciel
Ta tête appuyée sur mon bras jusqu'à c'qu'il s'anesthésie
J'ai à peine dépassé le quart de siècle
Que j'aimerais déjà tout comprendre et ça m'empêche d'atterrir
Ouais, j'suis chaque soir hypnotisé par le ciel
J'envie presque les premiers hommes à qui personne ne spoilait
Ni leur âge, ni jusqu'où va la mer
C'est fou [tous ?] comme l'esprit s'invente lorsqu'il n'sait pas où il est

Le soleil se couche à peine à la cuisine que je le sens déjà réapparaître au salon
Mes pensées fusent comme si elles sortaient d'un Uzi, le globe a tourné, j'ai même pas trouvé ça long
Des souvenirs de récré, des souvenirs de salle d'op', j'essaie d'en tirer les sens
Quand les vitres n'offrent plus assez d'images, quelques ovnis sortent d'entre les nuages
Et je repasse en boucle les mêmes albums jusqu'à c'que mes colloc' en fredonnent les mélodies
Toujours fasciné par la faculté des hommes à se montrer qu'ils s'aiment sans jamais le dire
Dans le jardin, les arbres ont l'air gigantesques quand je r'garde en l'air
Mais minuscules quand je r'garde en l'air, ça m'donne le vertige

??? des ascenseurs émotionnels
Pour grimper les étages de la vie
Pourvu qu'ils m'emmènent au sommet
Avant que les câbles ne s'abîment

J'suis chaque soir hypnotisé par le ciel
Ta tête appuyée sur mon bras jusqu'à c'qu'il s'anesthésie
J'ai à peine dépassé le quart de siècle
Que j'aimerais déjà tout comprendre et ça m'empêche d'atterrir
Ouais, j'suis chaque soir hypnotisé par le ciel
J'envie presque les premiers hommes à qui personne ne spoilait
Ni leur âge, ni jusqu'où va la mer
C'est fou [tous ?] comme l'esprit s'invente lorsqu'il n'sait pas où il est

Baisse les bras vers le sol et je sens (baisse les bras vers le sol et je sens)
Des picotements quand le sang redescend (des picotements quand le sang redescend)
Menton levé jusqu'au torticolis (menton levé jusqu'au torticolis)
Je n'ai même pas vu [s'étendre les champs ?] (je n'ai même pas vu [s'étendre les champs ?])
Hey

Les hommes et la nature guidés par une force invisible et les questions que certains fuient
Les questions que certains visitent, j'ai un père terre-à-terre et une mère feng shui
Toujours pieds nus sur la gouttière, j'vois les crackheads qui croisent ceux qui partent à l'usine
Deux cents milliards et des poussières, quelle importance ça me donne sous ma barbe et mon jean ?
J'suis v'nu au monde difficilement, depuis, tout c'que fais vient au monde difficilement
Mes couples et mes "I love you", mes interviews, mes coups d'gueule et parfois mes virements
Quand ça s'refroidit, qu'il pleut des litres, j'dessine des palmiers dans la buée des vitres
Les immeubles apparaissent dans les titres et ça m'donne le vertige

J'suis chaque soir hypnotisé par le ciel
Ta tête appuyée sur mon bras jusqu'à c'qu'il s'anesthésie
J'ai à peine dépassé le quart de siècle
Que j'aimerais déjà tout comprendre et ça m'empêche d'atterrir
Ouais, j'suis chaque soir hypnotisé par le ciel
J'envie presque les premiers hommes à qui personne ne spoilait
Ni leur âge, ni jusqu'où va la mer
C'est fou [tous ?] comme l'esprit s'invente lorsqu'il n'sait pas où il est

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