Paroles de la chanson La Valse Remix par PRT Crew
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Paroles de la chanson La Valse Remix par PRT Crew
[Max]
En ce soir de printemps, je me sens vide comme l’univers
Les espoirs qui s’estompent deviennent rides sur nos mères
Merde, les temps rudes nous emmerdent, même sans tituber je me perds
Et me sens plonger dans un enfer où tu en serais Lucifer
Je n’sais pas quoi faire de mes jours, je n’sais plus quoi faire de mes nuits
Depuis que je t’ai virée de ma route, je prie pour t’amener à l’oubli
Toi qui me guidais de la main fus téléguidée par l’envie
De détruire nos plus beaux refrains pour enfin atteindre tes lubies
En ce soir de printemps, je me sens vide comme l’univers
Les espoirs qui s’estompent deviennent rides sur nos mères
Merde, les temps rudes nous emmerdent, même sans tituber je me perds
Et me sens plonger dans un enfer où tu en serais Lucifer
Je n’sais pas quoi faire de mes jours, je n’sais plus quoi faire de mes nuits
Depuis que je t’ai virée de ma route, je prie pour t’amener à l’oubli
Toi qui me guidais de la main fus téléguidée par l’envie
De détruire nos plus beaux refrains pour enfin atteindre tes lubies
Mais cette musique n’est pas finie, enfin pour toi j’espère que si
Mes couplets s’accouplent à l’infini pour en devenir ces lyrics
Exutoire de centaines de peines, excuse-toi pour mes plus grandes haines
J’exécute les neurones de ma cervelle dans un crématorium d’herbe
Aquarium de mensonges où la vérité me semblait impossible
L’aquarelle de mes songes a dû dévier vers une autre cible
L’illusion est une fille horrible, se jouant enfant de la bible
J’aimerais tant pouvoir t’rendre la monnaie de cette pièce de théâtre stupide !
Comme une valse, l’amour nous balade
Mes couplets s’accouplent à l’infini pour en devenir ces lyrics
Exutoire de centaines de peines, excuse-toi pour mes plus grandes haines
J’exécute les neurones de ma cervelle dans un crématorium d’herbe
Aquarium de mensonges où la vérité me semblait impossible
L’aquarelle de mes songes a dû dévier vers une autre cible
L’illusion est une fille horrible, se jouant enfant de la bible
J’aimerais tant pouvoir t’rendre la monnaie de cette pièce de théâtre stupide !
Comme une valse, l’amour nous balade
Virevoltant de droite à gauche, faisant à la fois bien et mal
Faut qu’ça passe, les beaux jours sont tombés malades
Mais avant d’être moches, il n’y avait rien d’autres qui vale
Toute cette valse. Mais l’amour nous balade
Virevoltant de droite à gauche, faisant à la fois bien et mal
Faut qu’ça passe, les beaux jours sont tombés malades
Mais avant d’être morts, ils étaient loin de la pierre tombale
[Ben]
Les pensées amères, je me resers un énième verre
Un énième spliff dans un cendar de verre, pour calmer l’mal de mer
Faut qu’ça passe, les beaux jours sont tombés malades
Mais avant d’être moches, il n’y avait rien d’autres qui vale
Toute cette valse. Mais l’amour nous balade
Virevoltant de droite à gauche, faisant à la fois bien et mal
Faut qu’ça passe, les beaux jours sont tombés malades
Mais avant d’être morts, ils étaient loin de la pierre tombale
[Ben]
Les pensées amères, je me resers un énième verre
Un énième spliff dans un cendar de verre, pour calmer l’mal de mer
Qui m’accompagne chaque jour, que faire face à un océan d’enfer?
Mon esprit est en guerre, je veux quitter ce désert
De sentiments, d'attention. Intransigeant, ma passion
Me mène à vouloir action, folies et variations
Mais dans cette situation, aucune solution...
J'ai beau crier ma passion, le vide ne propage pas le son
Je veux m’enrouler dans des draps de soie, et pouvoir rester là sans que vienne le trépas
L'envelopper dans mes bras et rire aux éclats, un tarpé dans les doigts mais le rêve s’arrête là
Coupé net et précis par mon esprit réfléchi
Rouler des bêtes de spliff, n’a plombé ni mes récits
Mon esprit est en guerre, je veux quitter ce désert
De sentiments, d'attention. Intransigeant, ma passion
Me mène à vouloir action, folies et variations
Mais dans cette situation, aucune solution...
J'ai beau crier ma passion, le vide ne propage pas le son
Je veux m’enrouler dans des draps de soie, et pouvoir rester là sans que vienne le trépas
L'envelopper dans mes bras et rire aux éclats, un tarpé dans les doigts mais le rêve s’arrête là
Coupé net et précis par mon esprit réfléchi
Rouler des bêtes de spliff, n’a plombé ni mes récits
Ni mes étât d’âme. Je die, je mets mes réflexions en veille
Et ensuite m’attelle au travail souvent il n’y a que ça qui paye
J'observe tous les jours des failles, des fois j'en perds le sommeil
J'ai beau constamment être high, je vois ma vie qui bat de l'aile
Comme une valse, l’amour nous balade
Virevoltant de droite à gauche, faisant à la fois bien et mal
Faut qu’ça passe, les beaux jours sont tombés malades
Mais avant d’être moches, il n’y avait rien d’autres qui vale
Toute cette valse. Mais l’amour nous balade
Virevoltant de droite à gauche, faisant à la fois bien et mal
Et ensuite m’attelle au travail souvent il n’y a que ça qui paye
J'observe tous les jours des failles, des fois j'en perds le sommeil
J'ai beau constamment être high, je vois ma vie qui bat de l'aile
Comme une valse, l’amour nous balade
Virevoltant de droite à gauche, faisant à la fois bien et mal
Faut qu’ça passe, les beaux jours sont tombés malades
Mais avant d’être moches, il n’y avait rien d’autres qui vale
Toute cette valse. Mais l’amour nous balade
Virevoltant de droite à gauche, faisant à la fois bien et mal
Faut qu’ça passe, les beaux jours sont tombés malades
Mais avant d’être morts, ils étaient loin de la pierre tombale
Mais avant d’être morts, ils étaient loin de la pierre tombale
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