Paroles de la chanson Plaie Ouverte par PRT Crew
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Paroles de la chanson Plaie Ouverte par PRT Crew
[Max]
Mon coeur s’arrête, pas besoin d’un pacemaker un beatmaker ferait mieux l’affaire
Quand j’rap, que j’gratte, je brise les peurs. Les putes m’écoeurent et partent avec
Mes syllabes dans le vent, et dans ce silence je me vends
À tous ces cylons qui sont vous mais dans ce cyclone nous sommes vous
Et sommes voués à l’échec, comment avouer la défaite ?
En fait les surdoués sont sous amphét’, les soudoyés contrôlent nos dettes
Les sous sont tout sauf nos richesses, les fous sont tous saufs dans leur tête
Le flou s’essouffle comme le stress en un souffle de mes textes
Mon coeur s’arrête, pas besoin d’un pacemaker un beatmaker ferait mieux l’affaire
Quand j’rap, que j’gratte, je brise les peurs. Les putes m’écoeurent et partent avec
Mes syllabes dans le vent, et dans ce silence je me vends
À tous ces cylons qui sont vous mais dans ce cyclone nous sommes vous
Et sommes voués à l’échec, comment avouer la défaite ?
En fait les surdoués sont sous amphét’, les soudoyés contrôlent nos dettes
Les sous sont tout sauf nos richesses, les fous sont tous saufs dans leur tête
Le flou s’essouffle comme le stress en un souffle de mes textes
J’pète le miroir, si le reflet se ternie encore ce soir
J’pars dans l’art, une barre et ça s’re-barre dans le noir
Et ça s’rabat vers un phare, encore plus obscur que le marc
C’est une torture de se battre dans cette fortune de cauchemars
Et j’me couche tard, trop tard pour croire que demain sera différent
Que l’on oubliera nos différents et que nos prières soient suffisantes
Quand j’y pense j’crois même plus en dieu, d’puis qu’des hommes pieux nous détruisent
C’est dans la danse de nos adieux que ces affreux se nourrissent
Le sang coule et s'ouvrent de plus en plus de plaies
J’pars dans l’art, une barre et ça s’re-barre dans le noir
Et ça s’rabat vers un phare, encore plus obscur que le marc
C’est une torture de se battre dans cette fortune de cauchemars
Et j’me couche tard, trop tard pour croire que demain sera différent
Que l’on oubliera nos différents et que nos prières soient suffisantes
Quand j’y pense j’crois même plus en dieu, d’puis qu’des hommes pieux nous détruisent
C’est dans la danse de nos adieux que ces affreux se nourrissent
Le sang coule et s'ouvrent de plus en plus de plaies
Mec, dans leur processus de paix, j'y vois pas d'vérité
Quand les foules, refusent de s'entraider, on remarque qu’entre temps, l'humanité disparaît
Le sang coule et s'ouvrent de plus en plus de plaies
Mec, dans leur processus de paix, j'y vois pas d'vérité
Quand les foules, refusent de s'entraider, on remarque qu’entre temps, l'humanité disparaît
[Ben]
Paradis artificiels pour souffrances réelles
Anesthésié par l'herbe, mon esprit te compte sa peine
De voir le monde se perdre, l'humanité dans une ruelle
La haine peu à peu se révèle c'est bien sur Terre qu'est l'enfer
Quand les foules, refusent de s'entraider, on remarque qu’entre temps, l'humanité disparaît
Le sang coule et s'ouvrent de plus en plus de plaies
Mec, dans leur processus de paix, j'y vois pas d'vérité
Quand les foules, refusent de s'entraider, on remarque qu’entre temps, l'humanité disparaît
[Ben]
Paradis artificiels pour souffrances réelles
Anesthésié par l'herbe, mon esprit te compte sa peine
De voir le monde se perdre, l'humanité dans une ruelle
La haine peu à peu se révèle c'est bien sur Terre qu'est l'enfer
Car crois-moi que l'envers est bien moins cruel que c'qu'ils lancent
D'la chance qu'on croit en moi.. J'crois plus en l'égalité des chances
Mais en les qualités d'mes gens et quand on rappe c'est v'la l'échange
On change la donne, les zins s'abonnent, et j'envoie des vers alléchants
Cette société s'est elle-même vouée à l'échec, c'est joué d'puis perpét'
Endormis par les futilités mec l'histoire se répète
Des peuples stigmatisés, comment parler d'équité ou de paix?
J'ai honte de mon pays, j'rêve que d’le quitter ou peut être
De voir les gens se réveiller, de ce cauchemar télévisé
D'la chance qu'on croit en moi.. J'crois plus en l'égalité des chances
Mais en les qualités d'mes gens et quand on rappe c'est v'la l'échange
On change la donne, les zins s'abonnent, et j'envoie des vers alléchants
Cette société s'est elle-même vouée à l'échec, c'est joué d'puis perpét'
Endormis par les futilités mec l'histoire se répète
Des peuples stigmatisés, comment parler d'équité ou de paix?
J'ai honte de mon pays, j'rêve que d’le quitter ou peut être
De voir les gens se réveiller, de ce cauchemar télévisé
Esprits manipulés par la peur, et des profits augmentés...
Quand des enfants se meurent des bras des gens qu’ils ont armés
Nos dirigeants m’écoeurent de n’penser qu’a leurs intérêts
Le Sang Coule, Le Sang Coule
Le Sang Coule, Le Sang Coule
Le Sang Coule, Le Sang Coule
Le Sang Coule, Le Sang Coule
Le Sang Coule, Le Sang Coule
Le Sang Coule, Le Sang Coule
Le Sang Coule, Le Sang Coule
Le sang coule et s'ouvrent de plus en plus de plaies
Mec, dans leur processus de paix, j'y vois pas d'vérité
Quand des enfants se meurent des bras des gens qu’ils ont armés
Nos dirigeants m’écoeurent de n’penser qu’a leurs intérêts
Le Sang Coule, Le Sang Coule
Le Sang Coule, Le Sang Coule
Le Sang Coule, Le Sang Coule
Le Sang Coule, Le Sang Coule
Le Sang Coule, Le Sang Coule
Le Sang Coule, Le Sang Coule
Le Sang Coule, Le Sang Coule
Le sang coule et s'ouvrent de plus en plus de plaies
Mec, dans leur processus de paix, j'y vois pas d'vérité
Quand les foules, refusent de s'entraider, on remarque qu’entre temps, l'humanité disparaît
Le sang coule et s'ouvrent de plus en plus de plaies
Mec, dans leur processus de paix, j'y vois pas d'vérité
Quand les foules, refusent de s'entraider, on remarque qu’entre temps, l'humanité disparaît
Ils s’en foutent de c’que tu peux penser :
Eux tout c’qu’ils veulent, c’est toujours plus de blé
Le temps court, ils n’en auront jamais assez
L’heure tourne et leurs thunes ne paieront pas leurs regrets
Le sang coule et s'ouvrent de plus en plus de plaies
Mec, dans leur processus de paix, j'y vois pas d'vérité
Quand les foules, refusent de s'entraider, on remarque qu’entre temps, l'humanité disparaît
Ils s’en foutent de c’que tu peux penser :
Eux tout c’qu’ils veulent, c’est toujours plus de blé
Le temps court, ils n’en auront jamais assez
L’heure tourne et leurs thunes ne paieront pas leurs regrets
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