Paroles de la chanson (Wa La Vie) Lyam par Psychoqueen
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Paroles de la chanson (Wa La Vie) Lyam par Psychoqueen
C’était comme une folle nuit,
Où tonnaient les orages comme il pleut sur nos vies
Comme on chope la rage, quand nous prend des envies
La vie, fait de nous ce qu’elle veut
Au gré de ces orages, nous fait gonfler les yeux
Foudroyés pas la rage et nous mène aux aveux
Chagrin sur nos visages se lisait dans nos yeux
Comme un mauvais présage qu’on n’ose s’avouer tous deux
On mène une vie d’passage, difficile à tenir
Le temps fait des ravages, mais il vaut mieux en rire
Où tonnaient les orages comme il pleut sur nos vies
Comme on chope la rage, quand nous prend des envies
La vie, fait de nous ce qu’elle veut
Au gré de ces orages, nous fait gonfler les yeux
Foudroyés pas la rage et nous mène aux aveux
Chagrin sur nos visages se lisait dans nos yeux
Comme un mauvais présage qu’on n’ose s’avouer tous deux
On mène une vie d’passage, difficile à tenir
Le temps fait des ravages, mais il vaut mieux en rire
Demain tout a recommencé,
Les orages passés ont dissipé nos pleurs
Cultivé d’autres ardeurs sous des cieux azurés
Ce fut, comme un nouvel été
Nuages d’indolence, qui nous berçaient tous deux
On voguait en silence sur une mer de feu
La terre, les flots, le fer, toute chose qui nous perd
Nuages de papier aux couleurs délavées
En un vague souvenir qui ressemble à nos vies
Comme ces photos jaunies, contemplées à regret
Chagrin sur nos visages se lisait dans nos yeux
Comme un mauvais présage qu’on n’ose s’avouer tous deux
On mène une vie d’passage, difficile à tenir
Le temps fait des ravages, mais il vaut mieux en rire
Depuis, comme nos folles envies
À chaque jour qui passe, s’invente une autre histoire
À l’encre des saisons, comme sur un vieux grimoire
La trace des averses effacées
Et ces vents de folie gravés dans nos mémoires
Qui font que notre espoir dans le ciel toujours luit...
On mène une vie d’passage, difficile à tenir
Le temps fait des ravages, mais il vaut mieux en rire
Depuis, comme nos folles envies
À chaque jour qui passe, s’invente une autre histoire
À l’encre des saisons, comme sur un vieux grimoire
La trace des averses effacées
Et ces vents de folie gravés dans nos mémoires
Qui font que notre espoir dans le ciel toujours luit...
La terre, les flots, le fer, toute chose qui nous perd
Nuages de papier aux couleurs délavées
En un vague souvenir qui ressemble à nos vies
Comme ces photos jaunies, contemplées à regret
Nuages de papier aux couleurs délavées
En un vague souvenir qui ressemble à nos vies
Comme ces photos jaunies, contemplées à regret
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