Paroles de la chanson Au large du Brésil / Le Continent par Radio Elvis
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Paroles de la chanson Au large du Brésil / Le Continent par Radio Elvis
Des poissons volants s’affichent à ma fenêtre
Je n’ai jamais mangé pareil été
C’est le mois de juillet
La tempête s’est calmée
Pour aller se distraire sur d’autres hémisphères
Et le Brésil au loin fait chanter ses sirènes
Qui rôtissent leurs queues sur des récifs d’or
Dormez matelots sur le pont de vos rêves
Le soleil est là-haut qui réchauffe vos os
Dormez matelots sur le pont de vos rêves
Je n’ai jamais mangé pareil été
C’est le mois de juillet
La tempête s’est calmée
Pour aller se distraire sur d’autres hémisphères
Et le Brésil au loin fait chanter ses sirènes
Qui rôtissent leurs queues sur des récifs d’or
Dormez matelots sur le pont de vos rêves
Le soleil est là-haut qui réchauffe vos os
Dormez matelots sur le pont de vos rêves
Le soleil est là-haut qui réchauffe vos os
Bientôt la terre de feu dévoile ses fumées
Le Cap Horn à passer mais nous verrons des ronds
Si nous avons toujours envie
Si nous avons toujours envie
Le continent !
Nous sommes arrivés en vie
Juste quelques milliers de singes
Mon navire, envahit
Regarde les boire tout mon vin
Et la barbe des marins
A mes pieds forme l’écume
Ils sont morts vague après vague
Bientôt la terre de feu dévoile ses fumées
Le Cap Horn à passer mais nous verrons des ronds
Si nous avons toujours envie
Si nous avons toujours envie
Le continent !
Nous sommes arrivés en vie
Juste quelques milliers de singes
Mon navire, envahit
Regarde les boire tout mon vin
Et la barbe des marins
A mes pieds forme l’écume
Ils sont morts vague après vague
Pour gagner le continent
Une ile, enfin décidée,
Du brouillard a surgit
Ivre de canopée
Un toucan a bondi
Coco, à l’horizon
Et la nef qui prend l’eau
Il lui faudra un jour débarquer
Où nous pourrions toucher le fond
Et la barbe des marins
A mes pieds forme l’écume
Ils sont morts vague après vague
Pour gagner le continent
Et la barbe des marins
A mes pieds forme l’écume
Une ile, enfin décidée,
Du brouillard a surgit
Ivre de canopée
Un toucan a bondi
Coco, à l’horizon
Et la nef qui prend l’eau
Il lui faudra un jour débarquer
Où nous pourrions toucher le fond
Et la barbe des marins
A mes pieds forme l’écume
Ils sont morts vague après vague
Pour gagner le continent
Et la barbe des marins
A mes pieds forme l’écume
Ils sont morts vague après vague
Leur mémoire s’emmêle à mes lacets
Mes lacets, à mes mollets !
Mais à l’heure de débarquer
Ce souvenir à mes pieds
Serait-ce un enfant comme un clou en plein sol
Ou juste un coup de poing
Qui regarde sans sommeil les cargos s’éloigner
Les cales pleines de conquêtes, les cales pleines de continent
Serait-ce un enfant comme un clou en plein sol
Ou juste un coup de poing
Dressé aux falaises
Toujours à mes pieds
Dressé aux falaises
Leur mémoire s’emmêle à mes lacets
Mes lacets, à mes mollets !
Mais à l’heure de débarquer
Ce souvenir à mes pieds
Serait-ce un enfant comme un clou en plein sol
Ou juste un coup de poing
Qui regarde sans sommeil les cargos s’éloigner
Les cales pleines de conquêtes, les cales pleines de continent
Serait-ce un enfant comme un clou en plein sol
Ou juste un coup de poing
Dressé aux falaises
Toujours à mes pieds
Dressé aux falaises
Toujours à mes pieds
Dressé aux falaises
Comme un coup de poing
Dressé aux falaises
Dressé aux falaises
Il nous faudra un jour débarquer
Et puis tout oublier
Pour enfin débarquer
Et puis tout abandonner
Pour enfin débarquer
Les morts et les vivants
Vague après vague
Pour enfin débarquer
Sur le continent
Nous sommes arrivés en vie
Juste quelques milliers de singes
Dressé aux falaises
Comme un coup de poing
Dressé aux falaises
Dressé aux falaises
Il nous faudra un jour débarquer
Et puis tout oublier
Pour enfin débarquer
Et puis tout abandonner
Pour enfin débarquer
Les morts et les vivants
Vague après vague
Pour enfin débarquer
Sur le continent
Nous sommes arrivés en vie
Juste quelques milliers de singes
Ce souvenir engourdi
Oh aller, laissez-les boire tout mon vin
A quoi bon les océans ?
A quoi bon les tropiques ?
A quoi bon prendre la mer ?
A quoi bon l’envol d’un toucan ?
Agir, agir à la colère des dieux
Agir, agir à la colère des dieux
Mettre un pied à terre
Et comme une île
Se laisser submerger
Oh aller, laissez-les boire tout mon vin
A quoi bon les océans ?
A quoi bon les tropiques ?
A quoi bon prendre la mer ?
A quoi bon l’envol d’un toucan ?
Agir, agir à la colère des dieux
Agir, agir à la colère des dieux
Mettre un pied à terre
Et comme une île
Se laisser submerger
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