Paroles de la chanson Bonjour l'hiver par Reynz
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Paroles de la chanson Bonjour l'hiver par Reynz
Bonjour l'hiver, ce soir le printemps range ses jolies fleurs
Si solitaire, si solitaire, je crois qu'je parle seul
Bonjour l'hiver, ce soir le printemps range ses jolies fleurs
Si solitaire, si solitaire, je crois qu'je parle seul
J'ai pas l'seum c'est faux, c'est juste que j'aime pas m'sentir laissé sur l'té-co
J'ai baisé, baisé, baisé mon ego
A trop vouloir la paix, j'ai fait la guerre à tous les autres
Je ne suis qu'un coup d'soleil qui attend que retombe la pluie
Si solitaire, si solitaire, je crois qu'je parle seul
Bonjour l'hiver, ce soir le printemps range ses jolies fleurs
Si solitaire, si solitaire, je crois qu'je parle seul
J'ai pas l'seum c'est faux, c'est juste que j'aime pas m'sentir laissé sur l'té-co
J'ai baisé, baisé, baisé mon ego
A trop vouloir la paix, j'ai fait la guerre à tous les autres
Je ne suis qu'un coup d'soleil qui attend que retombe la pluie
Peau brûlée êve de son bain de minuit
Et puis de glace pilée dans un cocktail fruité
Loin du monde, exilé avec une sweet lady
Bonjour l'hiver, bye bye le printemps, nique tes jolies fleurs
Blanc le désert, blanc le désert qui recouvre nos cœurs
Bonjour l'hiver, bye bye le printemps, nique tes jolies fleurs
Mille somnifères, mille somnifères pour que tu fermes ta gueule
Ciel gris, murs gris, ici on a tout, la totale
J'suis né dans l'attentat, loin de W. Bush
Détonation dans l'crâne
L'amour j'ai un peu d'mal
Y a des yeux gorgés d'eau qui me disent qu'j'suis qu'un pauvre naze
Déambule dans la ville, pas pendant les heures ouvrables
Et puis de glace pilée dans un cocktail fruité
Loin du monde, exilé avec une sweet lady
Bonjour l'hiver, bye bye le printemps, nique tes jolies fleurs
Blanc le désert, blanc le désert qui recouvre nos cœurs
Bonjour l'hiver, bye bye le printemps, nique tes jolies fleurs
Mille somnifères, mille somnifères pour que tu fermes ta gueule
Ciel gris, murs gris, ici on a tout, la totale
J'suis né dans l'attentat, loin de W. Bush
Détonation dans l'crâne
L'amour j'ai un peu d'mal
Y a des yeux gorgés d'eau qui me disent qu'j'suis qu'un pauvre naze
Déambule dans la ville, pas pendant les heures ouvrables
Poésie dans la boca comme un glaire, un molard
C'est l'hiver qui nous prend en otage
Faits d'hiver, BFM, racolages
Plus de paradisiaque oasis, plus de barbuc à 10 ni de baises sur la plages
Mets la neige à la place
L'automne si j'pouvais j'lui niquerais sa race
Là faudrait qu'on s'arrache, j'mets du cœur à l'ouvrage
J'ai du rhum dans l'coca, j'tire la gueule d'vant la glace
Bonjour l'hiver, salut le printemps, crève tes jolies fleurs
Ils ont coupés l'herbe, ils ont coupés l'herbe comme un doigt dans l'mixeur
Bonjour l'hiver, salut le printemps, crève tes jolies fleurs
C'est l'hiver qui nous prend en otage
Faits d'hiver, BFM, racolages
Plus de paradisiaque oasis, plus de barbuc à 10 ni de baises sur la plages
Mets la neige à la place
L'automne si j'pouvais j'lui niquerais sa race
Là faudrait qu'on s'arrache, j'mets du cœur à l'ouvrage
J'ai du rhum dans l'coca, j'tire la gueule d'vant la glace
Bonjour l'hiver, salut le printemps, crève tes jolies fleurs
Ils ont coupés l'herbe, ils ont coupés l'herbe comme un doigt dans l'mixeur
Bonjour l'hiver, salut le printemps, crève tes jolies fleurs
Il faudra s'y faire, il faudra s'y faire, l'hiver viendra tout à l'heure
Elle viendra cette chienne et elle rendra les gens plus froid que le carrelage de mes chiottes
Y a le sexe, l'amitié, les poèmes en guise de radiateur
Alcool de pomme de terre réchauffe ma gorge
Bourré, j'gueule que l'hiver j'lui baise sa sœur
Bourré, je passerai la soirée dehors
Une existence comme un mauvais quart d'heure j'ai la flemme
De chaleur, explosons les records
Elle viendra cette chienne et elle rendra les gens plus froid que le carrelage de mes chiottes
Y a le sexe, l'amitié, les poèmes en guise de radiateur
Alcool de pomme de terre réchauffe ma gorge
Bourré, j'gueule que l'hiver j'lui baise sa sœur
Bourré, je passerai la soirée dehors
Une existence comme un mauvais quart d'heure j'ai la flemme
De chaleur, explosons les records
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