Paroles de la chanson Thomas O'Malley par Reynz
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Paroles de la chanson Thomas O'Malley par Reynz
J'arrive dandinant sous la lune comme chat de gouttière
Je fais miauler quelques bourgeoises qui m'aperçoivent sur leur fenêtre
Ah il paraît qu'on est très souvent saouls et qu'on traîne la nuit jusque dans les cimetières
Ces fils de chien ils nous jalousent, car personne nous a mis de laisse
Nous, tous plus ou moins à l'aise dans nos baskets, balaise dans mes placements, j'te laisse à sec
C'est moi qu'jai bu tout l'vin, c'est moi dans prophétie aztèque
Le rap n'est qu'un passe-temps, mais j'm'applique, j'suis un esthète
Je fais miauler quelques bourgeoises qui m'aperçoivent sur leur fenêtre
Ah il paraît qu'on est très souvent saouls et qu'on traîne la nuit jusque dans les cimetières
Ces fils de chien ils nous jalousent, car personne nous a mis de laisse
Nous, tous plus ou moins à l'aise dans nos baskets, balaise dans mes placements, j'te laisse à sec
C'est moi qu'jai bu tout l'vin, c'est moi dans prophétie aztèque
Le rap n'est qu'un passe-temps, mais j'm'applique, j'suis un esthète
Ils regardent les avions, je regarde les comètes
Le cul posé sur le muret, un pelage brillant comme le regard d'une murène
Bien sûr qu'j'ai les crocs acérés, tous les soirs, la rue se transforme en arène, alors, ça vend du shit, pète le fric des alloc'
Chacun fait c'qu'il peut pour survivre; on mord, on crache, on griffe
Et parfois on ronronne au lit près d'une salope
Accoutumé à la nuit, aux coins sombres, à tel point qu'on en est même devenu nyctalope
Loin d'l'école et d'ses coursives, pourtant, en écriture ils trottinent, on galope
Moi j'traîne qu'avec des zinzins, des gros matous très mal léchés
J'revois son p'tit sourire malin quand elle m'demandait la fessée (ah ouais)
Le cul posé sur le muret, un pelage brillant comme le regard d'une murène
Bien sûr qu'j'ai les crocs acérés, tous les soirs, la rue se transforme en arène, alors, ça vend du shit, pète le fric des alloc'
Chacun fait c'qu'il peut pour survivre; on mord, on crache, on griffe
Et parfois on ronronne au lit près d'une salope
Accoutumé à la nuit, aux coins sombres, à tel point qu'on en est même devenu nyctalope
Loin d'l'école et d'ses coursives, pourtant, en écriture ils trottinent, on galope
Moi j'traîne qu'avec des zinzins, des gros matous très mal léchés
J'revois son p'tit sourire malin quand elle m'demandait la fessée (ah ouais)
Elle voudrait qu'on s'en aille mais j'traîne mes coussinets dans la rue comme Thomas O'Malley
Balafrés, mes semblables, auraient dû l'effrayer, pur chat de gouttière, elle m'dit que je lui plaît
Elle voudrait qu'on s'en aille mais j'traîne mes coussinets dans la rue comme Thomas O'Malley
Balafrés, mes semblables, auraient dû l'effrayer, pur chat de gouttière
Et elle miaule, ouais elle miaule, viens dans ma piaule, on s'met à poil
Mais nan, nan, moi j'ai d'autres chats à fouetter
Et elle miaule, ouais elle miaule, viens dans ma piaule, on s'met à poil
Mais nan, nan, moi j'ai trop de plaies à lécher
J'lai déçu, évidemment, car, maladroit mon amour
Balafrés, mes semblables, auraient dû l'effrayer, pur chat de gouttière, elle m'dit que je lui plaît
Elle voudrait qu'on s'en aille mais j'traîne mes coussinets dans la rue comme Thomas O'Malley
Balafrés, mes semblables, auraient dû l'effrayer, pur chat de gouttière
Et elle miaule, ouais elle miaule, viens dans ma piaule, on s'met à poil
Mais nan, nan, moi j'ai d'autres chats à fouetter
Et elle miaule, ouais elle miaule, viens dans ma piaule, on s'met à poil
Mais nan, nan, moi j'ai trop de plaies à lécher
J'lai déçu, évidemment, car, maladroit mon amour
Moi j'suis pas chanteur de blues, si elle part je ne cours pas
Des traces de sang sur ma moustache, une bagarre dans la cour, drôle de senteur et dégoût, peut être un jour le mea culpa, eh, eh
Toujours le même périmètre, le même circuit, de quoi décevoir père et mère
Donc, on se sert les coudes et les papattes, en attendant le gong, on partage le plat d'pâtes
Ça roule comme sur patin, gars, elle m'attend dans grand lit à baldaquin
Odeur de shit et de Pastaga, on les reconnaît très vite ces bâtards d'usurpateurs
J'passe devant l'bar tabac puis j'rejoins le plus haut point de la ville
Toute la nuit j'ai cogité, y a qu'au JT qu'ils n'évoqueront pas nos vies
Du chat est rangée la panoplie, les coussinets qui traînent dans l'eau de pluie
Des traces de sang sur ma moustache, une bagarre dans la cour, drôle de senteur et dégoût, peut être un jour le mea culpa, eh, eh
Toujours le même périmètre, le même circuit, de quoi décevoir père et mère
Donc, on se sert les coudes et les papattes, en attendant le gong, on partage le plat d'pâtes
Ça roule comme sur patin, gars, elle m'attend dans grand lit à baldaquin
Odeur de shit et de Pastaga, on les reconnaît très vite ces bâtards d'usurpateurs
J'passe devant l'bar tabac puis j'rejoins le plus haut point de la ville
Toute la nuit j'ai cogité, y a qu'au JT qu'ils n'évoqueront pas nos vies
Du chat est rangée la panoplie, les coussinets qui traînent dans l'eau de pluie
Toute la nuit j'ai cogité, y a qu'au JT qu'ils n'évoqueront pas nos vies
Elle voudrait qu'on s'en aille mais j'traîne mes coussinets dans la rue comme Thomas O'Malley
Balafrés, mes semblables, auraient dû l'effrayer, pur chat de gouttière, elle m'dit que je lui plaît
Elle voudrait qu'on s'en aille mais j'traîne mes coussinets dans la rue comme Thomas O'Malley
Balafrés, mes semblables, auraient dû l'effrayer, pur chat de gouttière
(Elle voudrait qu'on s'en aille mais j'traîne mes coussinets dans la rue comme Thomas O'Malley
Balafrés, mes semblables, auraient dû l'effrayer, pur chat de gouttière, elle m'dit que je lui plaît)
Elle voudrait qu'on s'en aille mais j'traîne mes coussinets dans la rue comme Thomas O'Malley
Balafrés, mes semblables, auraient dû l'effrayer, pur chat de gouttière, elle m'dit que je lui plaît
Elle voudrait qu'on s'en aille mais j'traîne mes coussinets dans la rue comme Thomas O'Malley
Balafrés, mes semblables, auraient dû l'effrayer, pur chat de gouttière
(Elle voudrait qu'on s'en aille mais j'traîne mes coussinets dans la rue comme Thomas O'Malley
Balafrés, mes semblables, auraient dû l'effrayer, pur chat de gouttière, elle m'dit que je lui plaît)
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