Paroles de la chanson Parfumé D'elle par Rodolphe Burger

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Paroles de la chanson Parfumé D'elle par Rodolphe Burger

Le piano que baise une main frêle
Luit dans le soir rose et gris, vaguement
Tandis qu'avec un très léger bruit d'elle
Un air bien vieux bien faible et bien charmant
Rôde discret, epeuré quasiment
Par le boudoir longtemps parfumé d'elle

Le piano que baise une main frêle
Luit dans le soir rose et gris, vaguement
Tandis qu'avec un très léger bruit d'elle
Un air bien vieux bien faible et bien charmant
Rôde discret, epeuré quasiment
Par le boudoir longtemps parfumé d'elle

Qu'est-ce-que c'est que ce berceau soudain
Qui lentement dorlote mon pauvre être

Que voudrais-tu de moi doux chant badin
Qu'as-tu voulu faire au frein incertain
Qui va tantôt mourir dans la fenêtre
Ouverte un peu sur le petit jardin

Qu'est-ce-que c'est que ce berceau soudain
Qui lentement dorlote mon pauvre être
Que voudrais-tu de moi doux chant badin
Qu'as-tu voulu faire au frein incertain
Qui va tantôt mourir dans la fenêtre
Ouverte un peu sur le petit jardin

Qu'est-ce-que c'est que ce berceau soudain
Qu'est-ce-que c'est que ce berceau soudain
Qu'est-ce-que c'est que ce berceau soudain
Qui lentement dorlote mon pauvre être
Que voudrais-tu de moi doux chant badin
Qu'as-tu voulu faire au frein incertain

Qui va tantôt mourir dans la fenêtre
Ouverte un peu sur le petit jardin

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