Paroles de la chanson T'es parti par Ȼôme
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Paroles de la chanson T'es parti par Ȼôme
T'as fait tes bagages et t'es parti
T'étais encore en âge de t'échapper d'ici,
De crier haut et fort qu'tu veux pas croupir d'ennui.
C'est comme si t'étais mort depuis qu'tu n'respires plus la nuit.
T'avais beau tourner les pages c'est le blanc qui revenait.
T'avais beau chasser l'orage de ton sang qui bouillonnait,
T'avais la tête en voyage mais le corps toujours à quai.
C'était la fête à l'étage mais t'étais pas du banquet.
T'étais encore en âge de t'échapper d'ici,
De crier haut et fort qu'tu veux pas croupir d'ennui.
C'est comme si t'étais mort depuis qu'tu n'respires plus la nuit.
T'avais beau tourner les pages c'est le blanc qui revenait.
T'avais beau chasser l'orage de ton sang qui bouillonnait,
T'avais la tête en voyage mais le corps toujours à quai.
C'était la fête à l'étage mais t'étais pas du banquet.
T'as fait tes bagages et t'es parti
T’as trouvé le courage d’affronter la nuit
T’as décroché la lune, caressé tes insomnies,
Mais gavé d’amertume t’es parti retrouver l’ennui.
T'avais beau tourner les pages c'est le blanc qui revenait.
T'avais beau chasser l'orage de ton sang qui bouillonnait,
T'avais la tête en voyage mais le corps toujours à quai.
C'était la fête à l'étage mais t'étais pas du banquet.
Seul Face, hélas, à ton ennui.
Quoi qu’il se passe quand vient la pluie
T’as trouvé le courage d’affronter la nuit
T’as décroché la lune, caressé tes insomnies,
Mais gavé d’amertume t’es parti retrouver l’ennui.
T'avais beau tourner les pages c'est le blanc qui revenait.
T'avais beau chasser l'orage de ton sang qui bouillonnait,
T'avais la tête en voyage mais le corps toujours à quai.
C'était la fête à l'étage mais t'étais pas du banquet.
Seul Face, hélas, à ton ennui.
Quoi qu’il se passe quand vient la pluie
Tu veux passer entre les gouttes
En évitant coûte que coûte
D’enfin te trouver un abrit
Ce s’rait dommage avant d’être vieux
De découvrir que d’être heureux
Pourrait te simplifier la vie
T’aurais pu tourner les pages du néant qui revenait
T’aurais pu chasser l’orage et les nuits qui le berçaient
T’aurais la tête en voyage et le cœur qui la suivrait
Ca s’rait la fête à l’étage…Mais là…
T’es toujours pas du banquet…
En évitant coûte que coûte
D’enfin te trouver un abrit
Ce s’rait dommage avant d’être vieux
De découvrir que d’être heureux
Pourrait te simplifier la vie
T’aurais pu tourner les pages du néant qui revenait
T’aurais pu chasser l’orage et les nuits qui le berçaient
T’aurais la tête en voyage et le cœur qui la suivrait
Ca s’rait la fête à l’étage…Mais là…
T’es toujours pas du banquet…
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