Paroles de la chanson Mary par Rose Babylone
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Paroles de la chanson Mary par Rose Babylone
Elle me montrait des chemins inconnus
Sa main son coeur son QI son cul
Elle était voluptueusement
Offerte à tous les sacrements
Elle faisait de son corps un temple
Où se côtoyaient le Bouddha et Omar Kayam
J’y croisais des fleurs, des saints en sueur
Le Yi King , des petits bonzes en apesanteur
Elle était blonde jusqu’au pubis
Elle adorait les sucettes à l’anis
Et quand coulait dans sa gorge le délice
J’aurais vendu mon âme pour être un bâton de réglisse
Et petit à petit Mary
Ma petite ingénue montait aux nues
Simulations en volapük
Sa main son coeur son QI son cul
Elle était voluptueusement
Offerte à tous les sacrements
Elle faisait de son corps un temple
Où se côtoyaient le Bouddha et Omar Kayam
J’y croisais des fleurs, des saints en sueur
Le Yi King , des petits bonzes en apesanteur
Elle était blonde jusqu’au pubis
Elle adorait les sucettes à l’anis
Et quand coulait dans sa gorge le délice
J’aurais vendu mon âme pour être un bâton de réglisse
Et petit à petit Mary
Ma petite ingénue montait aux nues
Simulations en volapük
On tombait des avions sans parachute
Elle était Marlène Dietrich
Quand j’étais soldat de passage en ville
Ô Mary-Marlène
Ma petite américaine
Elle simulait des voies inconnues
Et moi tout à ses grandes lèvres pendu
Moi je n’étais qu’un petit con pas plus
Je ne voyais rien de ses vues
Elle faisait de son corps un lieu de culte
Où se confessaient tous les Jésus du monde
Son con ses fesses ses seins de déesse
J’avais le phallus fier le poil dressé le corps en laisse
Armée seulement d’une cravache
Elle aimait faire l’amour à l’arrache
Elle se cambrait en vers en prose et je suppose
Qu’on a joué toutes les poses
Elle était Marlène Dietrich
Quand j’étais soldat de passage en ville
Ô Mary-Marlène
Ma petite américaine
Elle simulait des voies inconnues
Et moi tout à ses grandes lèvres pendu
Moi je n’étais qu’un petit con pas plus
Je ne voyais rien de ses vues
Elle faisait de son corps un lieu de culte
Où se confessaient tous les Jésus du monde
Son con ses fesses ses seins de déesse
J’avais le phallus fier le poil dressé le corps en laisse
Armée seulement d’une cravache
Elle aimait faire l’amour à l’arrache
Elle se cambrait en vers en prose et je suppose
Qu’on a joué toutes les poses
Et petit à petit Mary
Ma petite ingénue montait aux nues
Simulations en volapük
On tombait des avions sans parachute
Elle était Marlène Dietrich
Quand j’étais soldat de passage en ville
Ô Mary-Marlène
Ma petite américaine
Ich Liebe dich Marlène
Ma petite ingénue montait aux nues
Simulations en volapük
On tombait des avions sans parachute
Elle était Marlène Dietrich
Quand j’étais soldat de passage en ville
Ô Mary-Marlène
Ma petite américaine
Ich Liebe dich Marlène
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