Paroles de la chanson Attiser le dilemme par Rosie Valland
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Paroles de la chanson Attiser le dilemme par Rosie Valland
On m'a dit : "comment as-tu fait pour ne pas voir c'qu'il éprouvait pour toi ?"
Et même que si j'ai pris la porte, c'est que j'avais sûrement le choix
Quand jamais j'ai voulu, attiser le dilemme
Car jamais j'ai voulu, que tu m'aimes
Sans les autres voix qui s'élèvent autour, qui m'éveillent
Je serais de celles qui allègent encore, tes torts
Sans les autres voix qui font le discours, pointent les vautours
Je serais de celles qu'on accuse encore, à tort
Et même que si j'ai pris la porte, c'est que j'avais sûrement le choix
Quand jamais j'ai voulu, attiser le dilemme
Car jamais j'ai voulu, que tu m'aimes
Sans les autres voix qui s'élèvent autour, qui m'éveillent
Je serais de celles qui allègent encore, tes torts
Sans les autres voix qui font le discours, pointent les vautours
Je serais de celles qu'on accuse encore, à tort
Même quand l'on sentait clairement l'inconfort
On m'a dit : comment as-tu fait pour ne pas voir c'qu'il éprouvait pour toi ?
Et même que si j'ai pris la porte, c'est que j'avais sûrement le choix
Quand jamais j'ai voulu, attiser le dilemme
Car jamais j'ai voulu, que tu m'aimes
Si je pose ma voix, que je tente de faire, comme ces reines
C'est pour être de celles qui soulèvent dès lors, les torts
Si je pose ma voix, me fonds au discours, rêve des beaux jours
C'est pour être de celles qui refusent dès lors le sort
On m'a dit : comment as-tu fait pour ne pas voir c'qu'il éprouvait pour toi ?
Et même que si j'ai pris la porte, c'est que j'avais sûrement le choix
Quand jamais j'ai voulu, attiser le dilemme
Car jamais j'ai voulu, que tu m'aimes
Si je pose ma voix, que je tente de faire, comme ces reines
C'est pour être de celles qui soulèvent dès lors, les torts
Si je pose ma voix, me fonds au discours, rêve des beaux jours
C'est pour être de celles qui refusent dès lors le sort
Comme quand je sentais clairement l'inconfort
On m'a dit : comment as-tu fait pour ne pas voir c'qu'il éprouvait pour toi ?
Et même que si j'ai pris la porte, c'est que j'avais sûrement le choix
Quand jamais j'ai voulu, attiser le dilemme
Car jamais j'ai voulu, que tu m'aimes
Si jamais, t'ignorais
J'espère maintenant que c'est compris
Que jamais, même de près, j'aurais dû me trouver ici
Si jamais, t'ignorais
J'espère maintenant que c'est compris
Que jamais, même de près, j'aurais dû me trouver ici
On m'a dit : comment as-tu fait pour ne pas voir c'qu'il éprouvait pour toi ?
Et même que si j'ai pris la porte, c'est que j'avais sûrement le choix
Quand jamais j'ai voulu, attiser le dilemme
Car jamais j'ai voulu, que tu m'aimes
Que tu m'aimes
Que tu m'aimes
Que tu m'aimes
Que tu m'aimes
Que jamais, même de près, j'aurais dû me trouver ici
On m'a dit : comment as-tu fait pour ne pas voir c'qu'il éprouvait pour toi ?
Et même que si j'ai pris la porte, c'est que j'avais sûrement le choix
Quand jamais j'ai voulu, attiser le dilemme
Car jamais j'ai voulu, que tu m'aimes
Que tu m'aimes
Que tu m'aimes
Que tu m'aimes
Que tu m'aimes
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