Paroles de la chanson Paris par Rovski
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Paroles de la chanson Paris par Rovski
Les ruisseaux creusent les plaies des
amants malhabiles
Qui dénouent les tracés imperceptibles fils
Laisse toi aimer à soudain s'en lasser
Les menteuses limacent dans la cage
d’escalier
Et Saturne console les chagrins noirs tirés
de mes jardins nocturnes
Où des chênes ambrés tapissent les dédales
de mon coeur enterré
Pour que j'aime encore, pour que j’aime
encore
Les parfums oubliés et les petites morts
Des déesses aux nus pieds qui chantent
la joie lactée
Sur les longs quais de Seine
amants malhabiles
Qui dénouent les tracés imperceptibles fils
Laisse toi aimer à soudain s'en lasser
Les menteuses limacent dans la cage
d’escalier
Et Saturne console les chagrins noirs tirés
de mes jardins nocturnes
Où des chênes ambrés tapissent les dédales
de mon coeur enterré
Pour que j'aime encore, pour que j’aime
encore
Les parfums oubliés et les petites morts
Des déesses aux nus pieds qui chantent
la joie lactée
Sur les longs quais de Seine
Les bennes penchent pour rien
Et les chiens se promènent
Tu te perds en chemin
Belle comme une fusée
Qui n'a plus peur de rien
Et qui t'emmène danser
Sur sa peau de satin
Les ruisseaux creusent les plaies des
amants malhabiles
Qui dénouent les tracés imperceptibles fils
Laisse tout aimer à soudain s'enlacer
Quand on ne veut plus rien
Des promesses moribondes
Qu'on entend en refrain
Sous les volutes blondes
Reste encore en secret
Dans mes bras entraînés
À serrer les cotons
Et les chiens se promènent
Tu te perds en chemin
Belle comme une fusée
Qui n'a plus peur de rien
Et qui t'emmène danser
Sur sa peau de satin
Les ruisseaux creusent les plaies des
amants malhabiles
Qui dénouent les tracés imperceptibles fils
Laisse tout aimer à soudain s'enlacer
Quand on ne veut plus rien
Des promesses moribondes
Qu'on entend en refrain
Sous les volutes blondes
Reste encore en secret
Dans mes bras entraînés
À serrer les cotons
De ces robes mal taillées
Qui t'habillent pour l'été
Enivrante saison
Pour que j'aime encore, pour que j’aime
encore
Les parfums oubliés et les petites morts
Des déesses aux nus pieds qui chantent
la joie lactée
Sur les longs quais de Seine
Les bennes penchent pour rien
Et les chiens se promènent
Tu te perds en chemin
Belle comme une fusée
Qui n'a plus peur de rien
Et qui t'emmène danser
Sur sa peau de satin
Qui t'habillent pour l'été
Enivrante saison
Pour que j'aime encore, pour que j’aime
encore
Les parfums oubliés et les petites morts
Des déesses aux nus pieds qui chantent
la joie lactée
Sur les longs quais de Seine
Les bennes penchent pour rien
Et les chiens se promènent
Tu te perds en chemin
Belle comme une fusée
Qui n'a plus peur de rien
Et qui t'emmène danser
Sur sa peau de satin
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