Paroles de la chanson Greenwood par Rugai
Auteurs: Francis Grommier
Compositeurs: Francis Grommier
Editeurs: Bmg Rights Management (France)
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Paroles de la chanson Greenwood par Rugai
Ô Mon ami la route est longue jusqu'à Greenwood Mississippi
Je m'évade dans des songes puisque mes chaînes me gardent ici
La patience est féconde quand tu sais où va ta vie...
Si la blessure vient te faucher prie pour qu'elle ne dure pas longtemps
Sur des chemins de liberté on s'est cassé les dents
Continue compte les wagons en t'imaginant dedans...
Alors je tape sur des caillous en regardant passer les trains
Je m'évade dans des songes puisque mes chaînes me gardent ici
La patience est féconde quand tu sais où va ta vie...
Si la blessure vient te faucher prie pour qu'elle ne dure pas longtemps
Sur des chemins de liberté on s'est cassé les dents
Continue compte les wagons en t'imaginant dedans...
Alors je tape sur des caillous en regardant passer les trains
Je mène une vie de jaloux, et je n'ai pas d'autre dessein
Larme coule sur ma joue personne ne viendra troubler ton chemin
Vois les ecchymoses et les coups que l'on m'afflige chaque matin
Face au maton moitié saoul, n'affiche jamais ton chagrin
Les yeux plongés dans le flou je m'esquinte les mains...
Alors je rêve de confort vers de vertes prairies,
User de tous mes efforts pour quitter le Mississippi
M'éloigner de ce triste sort et commencer une autre vie
Larme coule sur ma joue personne ne viendra troubler ton chemin
Vois les ecchymoses et les coups que l'on m'afflige chaque matin
Face au maton moitié saoul, n'affiche jamais ton chagrin
Les yeux plongés dans le flou je m'esquinte les mains...
Alors je rêve de confort vers de vertes prairies,
User de tous mes efforts pour quitter le Mississippi
M'éloigner de ce triste sort et commencer une autre vie
Mais à toujours trop divaguer, à l'ordre je me fais rappeler
Pour retrouver mon lot ici, la cadence du fouet
Je porte ce rythme sur ma peau qui ne cesse de saigner
Alors je tape sur des caillous en regardant passer les trains
Je mène une vie de jaloux, et je n'ai pas d'autre dessein
Larme coule sur ma joue personne ne viendra troubler ton chemin
Vois les ecchymoses et les coups que l'on m'afflige chaque matin
Face au maton moitié saoul, n'affiche jamais ton chagrin
Les yeux plongés dans le flou je m'esquinte les mains...
Pour retrouver mon lot ici, la cadence du fouet
Je porte ce rythme sur ma peau qui ne cesse de saigner
Alors je tape sur des caillous en regardant passer les trains
Je mène une vie de jaloux, et je n'ai pas d'autre dessein
Larme coule sur ma joue personne ne viendra troubler ton chemin
Vois les ecchymoses et les coups que l'on m'afflige chaque matin
Face au maton moitié saoul, n'affiche jamais ton chagrin
Les yeux plongés dans le flou je m'esquinte les mains...
Seul face à moi-même chaque soir dans mes vieux haillons de fortune
Voilà le prix à payer pour avoir trop visé la lune
Voilà de l'ombre un anathème face à ces gens en tribune...
Moi qui n'aligne pas en public quatre mots sans un bégaiement
Je suis la risée de l'audience je vois bien glousser les gens
Muré dans mon mutisme je perds au fil du temps...
Alors je tape sur des caillous en regardant passer les trains
Je mène une vie de jaloux, et je n'ai pas d'autre dessein
Larme coule sur ma joue personne ne viendra troubler ton chemin
Vois les ecchymoses et les coups que l'on m'afflige chaque matin
Face au maton moitié saoul, n'affiche jamais ton chagrin
Les yeux plongés dans le flou je m'esquinte les mains...
Un jour passerais-je ces portes fier et reconnu innocent
Quitter ce lieu et terrasser ma galère d'antan
Tomberais-je dans l'oubli ?
Chroniques d'un chiourme d'un autre temps ...
Vois les ecchymoses et les coups que l'on m'afflige chaque matin
Face au maton moitié saoul, n'affiche jamais ton chagrin
Les yeux plongés dans le flou je m'esquinte les mains...
Un jour passerais-je ces portes fier et reconnu innocent
Quitter ce lieu et terrasser ma galère d'antan
Tomberais-je dans l'oubli ?
Chroniques d'un chiourme d'un autre temps ...
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