Paroles de la chanson Volapük par San-Nom
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Paroles de la chanson Volapük par San-Nom
J'emmène pas les gens dans mon monde, nan, je les y enferme et j'attends qu'ils kiffent (kiffent)
Je les engrosse, c'est comme ça que nait l'art, regarde bien la maman de Chief Keef
Mais beaucoup trop de mange-bonbons qui bombent le torse alors qu'ils ont mis une grosse laine sous leur bombers
Nan c'est pas le bon bail de jouer le "bang bang" alors qu'ça sent la lavande ici
Je fais de l'esprit mais j'ai perdu l'mien comme les Pixies
Je me pose trop de questions ; pourquoi mon sexe pisse-t-il ?
Pourquoi mon sexe pistole devant les belles plantes avant le dépistage, ma langue sur le pistil
Fais pas la difficile puisque je t'aime tant, quoi tu regrettes le temps où tu faisais du tricycle ?
Je les engrosse, c'est comme ça que nait l'art, regarde bien la maman de Chief Keef
Mais beaucoup trop de mange-bonbons qui bombent le torse alors qu'ils ont mis une grosse laine sous leur bombers
Nan c'est pas le bon bail de jouer le "bang bang" alors qu'ça sent la lavande ici
Je fais de l'esprit mais j'ai perdu l'mien comme les Pixies
Je me pose trop de questions ; pourquoi mon sexe pisse-t-il ?
Pourquoi mon sexe pistole devant les belles plantes avant le dépistage, ma langue sur le pistil
Fais pas la difficile puisque je t'aime tant, quoi tu regrettes le temps où tu faisais du tricycle ?
Tu te fais bouffer de l'intérieur, ton ver solitaire est un terre-neuve
T'as d'l'autodérision comme un pet rieur mais t'es impériale comme un cercueil
Faire cœur avec les doigts puis faire queue avec la bouche, elle secoue pour rigoler puis ça l'éclabousse, je boxe avec les mots, fessée avec Larousse mais tu disparais si aux coins d'tes lèvres ça mousse
Merde, je traite les gens comme des femmes car les gens sont toujours à moitié des femmes
Si j'pouvais niquer des plantes j'ferais boiter des arbres
Ça fait des années que ces damnées baisent pareil, qu'on m'épargne ou qu'elles détallent, je parle peu mais je m’étale
J'rappe en Volapük et j'bégaye, dans l'oreille d'une sourde qui végète
T'as d'l'autodérision comme un pet rieur mais t'es impériale comme un cercueil
Faire cœur avec les doigts puis faire queue avec la bouche, elle secoue pour rigoler puis ça l'éclabousse, je boxe avec les mots, fessée avec Larousse mais tu disparais si aux coins d'tes lèvres ça mousse
Merde, je traite les gens comme des femmes car les gens sont toujours à moitié des femmes
Si j'pouvais niquer des plantes j'ferais boiter des arbres
Ça fait des années que ces damnées baisent pareil, qu'on m'épargne ou qu'elles détallent, je parle peu mais je m’étale
J'rappe en Volapük et j'bégaye, dans l'oreille d'une sourde qui végète
Je suis à part, je suis un peu celui qui a envie d'chier quand tout l'monde bégère
J'rappe en Volapük et j'bégaye, dans l'oreille d'une sourde qui végète
Je suis à part, je suis un peu celui qui a envie d'chier quand tout l'monde bégère
J'rappe en Volapük et j'bégaye, dans l'oreille d'une sourde qui végète
Je suis à part, je suis un peu celui qui a envie d'chier quand tout l'monde bégère
J'rappe en Volapük et j'bégaye, dans l'oreille d'une sourde qui végète
Je suis à part, je suis un peu celui qui a envie d'chier quand tout l'monde bégère
Quand tout l'monde bégère
Je rase les jambes de la vie, marre des genres de gens qui sentent la pisse
J'rappe en Volapük et j'bégaye, dans l'oreille d'une sourde qui végète
Je suis à part, je suis un peu celui qui a envie d'chier quand tout l'monde bégère
J'rappe en Volapük et j'bégaye, dans l'oreille d'une sourde qui végète
Je suis à part, je suis un peu celui qui a envie d'chier quand tout l'monde bégère
J'rappe en Volapük et j'bégaye, dans l'oreille d'une sourde qui végète
Je suis à part, je suis un peu celui qui a envie d'chier quand tout l'monde bégère
Quand tout l'monde bégère
Je rase les jambes de la vie, marre des genres de gens qui sentent la pisse
Je suis un sous-genre de l'avenir, je suis un nez s'mouchant, un soufflant de magie
Je suis aussi blanc qu'est rouge le fascisme, (qu'il est bon ce tajine), qu'est rouge le cassis
Je n'en ferai pas un fromage mais aux Dieux un caprice
Je suis fait de tabagisme, si ça roule pas je serai vert comme le cannabis
Je ne serai jamais qu'un odieux parasite, oui je marche pieds nus car je n'aime pas l'Asie
Vole de tes propres ailes mais ne fais jamais la pie, j'ai pas connu la guerre et heureusement qu'j'ai la fibre (j'suis un homme debout)
Je suis un homme debout et toi tu restes assis, ah !
Je ne suis qu'un péquenot dans un paquebot s'noyant dans une flaque d'eau
J'nage en eau trouble comme un maquereau au chômage mais qui ne coulera jamais comme le McDo'
Je suis aussi blanc qu'est rouge le fascisme, (qu'il est bon ce tajine), qu'est rouge le cassis
Je n'en ferai pas un fromage mais aux Dieux un caprice
Je suis fait de tabagisme, si ça roule pas je serai vert comme le cannabis
Je ne serai jamais qu'un odieux parasite, oui je marche pieds nus car je n'aime pas l'Asie
Vole de tes propres ailes mais ne fais jamais la pie, j'ai pas connu la guerre et heureusement qu'j'ai la fibre (j'suis un homme debout)
Je suis un homme debout et toi tu restes assis, ah !
Je ne suis qu'un péquenot dans un paquebot s'noyant dans une flaque d'eau
J'nage en eau trouble comme un maquereau au chômage mais qui ne coulera jamais comme le McDo'
Je ne suis qu'un péquenot dans un paquebot s'noyant dans une flaque d'eau
J'nage en eau trouble comme un maquereau au chômage mais qui ne coulera jamais comme le McDo'
J'rappe en Volapük et j'bégaye, dans l'oreille d'une sourde qui végète
Je suis à part, je suis un peu celui qui a envie d'chier quand tout l'monde bégère
J'rappe en Volapük et j'bégaye, dans l'oreille d'une sourde qui végète
Je suis à part, je suis un peu celui qui a envie d'chier quand tout l'monde bégère
J'rappe en Volapük et j'bégaye, dans l'oreille d'une sourde qui végète
Je suis à part, je suis un peu celui qui a envie d'chier quand tout l'monde bégère
J'rappe en Volapük et j'bégaye, dans l'oreille d'une sourde qui végète
J'nage en eau trouble comme un maquereau au chômage mais qui ne coulera jamais comme le McDo'
J'rappe en Volapük et j'bégaye, dans l'oreille d'une sourde qui végète
Je suis à part, je suis un peu celui qui a envie d'chier quand tout l'monde bégère
J'rappe en Volapük et j'bégaye, dans l'oreille d'une sourde qui végète
Je suis à part, je suis un peu celui qui a envie d'chier quand tout l'monde bégère
J'rappe en Volapük et j'bégaye, dans l'oreille d'une sourde qui végète
Je suis à part, je suis un peu celui qui a envie d'chier quand tout l'monde bégère
J'rappe en Volapük et j'bégaye, dans l'oreille d'une sourde qui végète
Je suis à part, je suis un peu celui qui a envie d'chier quand tout l'monde bégère
Quand j'vois ta gueule je comprends ton halène, t'es un rappeur donc tu veux nous comparer
Mais c'est là qu'on t'arrête mes facettes et moi, efface cet émoi et dégage le con d'ta mère
J'étale mon amertume, épargne donc ta tête, j'aime bien le son d'ma vertu quand elle frappe contre la tienne
J'suis plus fort que moi-même, j'fais en sorte que les averses fument
Je peux faire d'la merde, tu sais d'avance que ma merde tue, ah !
J'rappe en Volapük et en uppercuts
Ah, un jour j'ai ouvert la bouche et la lumière fut
Quand j'vois ta gueule je comprends ton halène, t'es un rappeur donc tu veux nous comparer
Mais c'est là qu'on t'arrête mes facettes et moi, efface cet émoi et dégage le con d'ta mère
J'étale mon amertume, épargne donc ta tête, j'aime bien le son d'ma vertu quand elle frappe contre la tienne
J'suis plus fort que moi-même, j'fais en sorte que les averses fument
Je peux faire d'la merde, tu sais d'avance que ma merde tue, ah !
J'rappe en Volapük et en uppercuts
Ah, un jour j'ai ouvert la bouche et la lumière fut
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