Paroles de la chanson Toi Qui Disais par Catherine Sauvage
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Paroles de la chanson Toi Qui Disais par Catherine Sauvage
Toi, qui disais, qui disais,
Qui disais que tu l'aimais,
Tu l'aimais, tu l'aimais.
Dans les rues, sur les pavés mouillés
Traînent des lueurs sans joie.
Une fille va pleurant sous la pluie
Et pense encore à toi.
Toi, qui disais, qui disais,
Qui disais que tu l'aimais,
Tu l'aimais, tu l'aimais.
Tu l'aimais plus que la vie
Qu'as-tu fais de ton amour
Pour qu'il pleure sous la pluie.
Qui disais que tu l'aimais,
Tu l'aimais, tu l'aimais.
Dans les rues, sur les pavés mouillés
Traînent des lueurs sans joie.
Une fille va pleurant sous la pluie
Et pense encore à toi.
Toi, qui disais, qui disais,
Qui disais que tu l'aimais,
Tu l'aimais, tu l'aimais.
Tu l'aimais plus que la vie
Qu'as-tu fais de ton amour
Pour qu'il pleure sous la pluie.
Te souviens-tu, souviens-tu ?
Le jour où tu l'as connu,
L'as connu, l'as connu
Ca t'as couté de l'argent
Mais ça t'a fait du bon temps
C'était un fameux samedi.
Les lampions de la baraque aux frites
Où tout va vite au son d' l'accordéon
Tournaient en rond.
Elle admirait, admirait
La façon dont tu visais
Et tirais et gagnais
Des jolies fleurs à cent sous
Qui faisaient des colliers choux
Qu' tu passais autour d' son cou.
Le jour où tu l'as connu,
L'as connu, l'as connu
Ca t'as couté de l'argent
Mais ça t'a fait du bon temps
C'était un fameux samedi.
Les lampions de la baraque aux frites
Où tout va vite au son d' l'accordéon
Tournaient en rond.
Elle admirait, admirait
La façon dont tu visais
Et tirais et gagnais
Des jolies fleurs à cent sous
Qui faisaient des colliers choux
Qu' tu passais autour d' son cou.
Les p'tites autos s'tamponnaient,
S'tamponnaient, près du billard
Japonais, et l'indien
Qui se disait grand magicien
Vous sortait des trucs de rien
En faisant Trente six mille tours.
Près des nougats, les ch'vaux d'bois
Descendaient et remontaient
Et tout ça s' terminait
Au bastrigue où l'on s'en donne
Dans les coins sombres où l'on s' donne
En f'sant l' coup du grand amour.
Mais t' as fait un peu trop d' carresses
De fausses promesses, au rythme du piano
Qui jouait faux.
S'tamponnaient, près du billard
Japonais, et l'indien
Qui se disait grand magicien
Vous sortait des trucs de rien
En faisant Trente six mille tours.
Près des nougats, les ch'vaux d'bois
Descendaient et remontaient
Et tout ça s' terminait
Au bastrigue où l'on s'en donne
Dans les coins sombres où l'on s' donne
En f'sant l' coup du grand amour.
Mais t' as fait un peu trop d' carresses
De fausses promesses, au rythme du piano
Qui jouait faux.
Comme une simplette, la fillette
Enivrée par les grands mots
Elle y a cru un peu trop
Si bien qu' quand tu es parti
Elle n'a vraiment rien compris
Sinon que c'était fini.
Toi, qui disais, qui disais,
Qui disais que tu l'aimais,
Tu l'aimais, tu l'aimais.
Dans les rues, sur les pavés mouillés
Traînent des lueurs sans joie.
Une fille va pleurant sous la pluie
Et pense encore à toi.
Enivrée par les grands mots
Elle y a cru un peu trop
Si bien qu' quand tu es parti
Elle n'a vraiment rien compris
Sinon que c'était fini.
Toi, qui disais, qui disais,
Qui disais que tu l'aimais,
Tu l'aimais, tu l'aimais.
Dans les rues, sur les pavés mouillés
Traînent des lueurs sans joie.
Une fille va pleurant sous la pluie
Et pense encore à toi.
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