Paroles de la chanson L'assassinat de Franz Lehar par Serge Gainsbourg
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Paroles de la chanson L'assassinat de Franz Lehar par Serge Gainsbourg
Un jour que je m'en allais par
Le pont des arts
Dans mes pensées, ma rêverie
Je me surpris
A croiser un
Homme-orchestre un
Peu assassin
Il travaillait du piccolo
Et du chapeau
Des flûtes, des coudes, du cor
Et, mieux encore,
De l'orgue oui
Mais, comme on dit,
De barbarie
Le pont des arts
Dans mes pensées, ma rêverie
Je me surpris
A croiser un
Homme-orchestre un
Peu assassin
Il travaillait du piccolo
Et du chapeau
Des flûtes, des coudes, du cor
Et, mieux encore,
De l'orgue oui
Mais, comme on dit,
De barbarie
Ce qui sortait de ses instruments
C'était sanglant
J'aurais voulu pour entendre ça
Que vous soyez là
C'était Byzance
En apparence
Une connaissance
J'ai reconnu dans ce tintamarre
Mon Franz Lehar
Y me l'avait si bien arrangé
Que c'était pitié
En voyant ça
J'ai crié à
L'assassinat
L'homme-fanfare sans broncher
M'a salué
C'était sanglant
J'aurais voulu pour entendre ça
Que vous soyez là
C'était Byzance
En apparence
Une connaissance
J'ai reconnu dans ce tintamarre
Mon Franz Lehar
Y me l'avait si bien arrangé
Que c'était pitié
En voyant ça
J'ai crié à
L'assassinat
L'homme-fanfare sans broncher
M'a salué
D'une main, de l'autre il m'a pris
Quelques louis
Me remerciant
En attaquant
L'or et l'argent
Quelques louis
Me remerciant
En attaquant
L'or et l'argent
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