Paroles de la chanson La Nuit D'octobre par Serge Gainsbourg
Auteurs: Dp
Compositeurs: Serge Gainsbourg
Editeurs: Warner Chappell Music France
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Paroles de la chanson La Nuit D'octobre par Serge Gainsbourg
Honte à toi qui la première
m'a appris la trahison
Et d'horreur et de colère
m'a fait perdre la raison
Et d'horreur et de colère
m'a fait perdre la raison
Honte à toi femme à l'oeil sombre,
dont les funestes amours
Ont enseveli dans l'ombre
mon printemps et mes beaux jours
Ont enseveli dans l'ombre
mon printemps et mes beaux jours
C'est ta voix, c'est ton sourire,
c'est ton regard corrupteur
m'a appris la trahison
Et d'horreur et de colère
m'a fait perdre la raison
Et d'horreur et de colère
m'a fait perdre la raison
Honte à toi femme à l'oeil sombre,
dont les funestes amours
Ont enseveli dans l'ombre
mon printemps et mes beaux jours
Ont enseveli dans l'ombre
mon printemps et mes beaux jours
C'est ta voix, c'est ton sourire,
c'est ton regard corrupteur
Qui m'ont appris à maudire
jusqu'au semblant du bonheur
Qui m'ont appris à maudire
jusqu'au semblant du bonheur
C'est ta jeunesse, c'est tes charmes
qui m'ont fait désespérer
Et si je doute des larmes
c'est que je t'ai vu pleurer
Et si je doute des larmes
c'est que je t'ai vu pleurer
Honte à toi, j'étais encore,
aussi simple qu'un enfant
Comme une fleur à l'aurore
mon coeur s'ouvrait en t'aimant
Comme une fleur à l'aurore
mon coeur s'ouvrait en t'aimant
jusqu'au semblant du bonheur
Qui m'ont appris à maudire
jusqu'au semblant du bonheur
C'est ta jeunesse, c'est tes charmes
qui m'ont fait désespérer
Et si je doute des larmes
c'est que je t'ai vu pleurer
Et si je doute des larmes
c'est que je t'ai vu pleurer
Honte à toi, j'étais encore,
aussi simple qu'un enfant
Comme une fleur à l'aurore
mon coeur s'ouvrait en t'aimant
Comme une fleur à l'aurore
mon coeur s'ouvrait en t'aimant
Certes ce coeur sans défense,
pu sans peine être abusé
Mais lui laisser l'innocence
était encore plus aisé
Mais lui laisser l'innocence
était encore plus aisé
Honte à toi, qui fut la mère
de mes premières douleurs
Et tu fis de ma paupière
jaillir la source des pleurs
Et tu fis de ma paupière
jaillir la source des pleurs
Elle coule sois en sûr
et rien ne la tarira
Elle sort d'une blessure
qui jamais ne guérira
Elle sort d'une blessure
qui jamais ne guérira
Mais dans cette source amère,
du moins je me laverais
Et j'y laisserais j’espère
ton souvenir abhorré
Et j'y laisserais j’espère
ton souvenir abhorré
Et j'y laisserais j’espère
ton souvenir abhorré.
qui jamais ne guérira
Elle sort d'une blessure
qui jamais ne guérira
Mais dans cette source amère,
du moins je me laverais
Et j'y laisserais j’espère
ton souvenir abhorré
Et j'y laisserais j’espère
ton souvenir abhorré
Et j'y laisserais j’espère
ton souvenir abhorré.
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