Paroles de la chanson Un jour j'ai fermé la télé par Serge Reggiani
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Paroles de la chanson Un jour j'ai fermé la télé par Serge Reggiani
Un jour j'ai fermé la télé
Et le monde s'est révélé
À moi sous des couleurs nouvelles
Plus de peuples assassinés
Plus de cadavres calcinés
Plus de fœtus dans les poubelles
J'ai marché dans le vent du soir
Précédé par un encensoir
Qui parfumait la nuit tombante
J'ai retrouvé mon univers
Par mes yeux mais pas au travers
D'une lucarne déformante
On peut vivre sans la télé
Il suffit de se recaler
Par rapport aux valeurs premières
Et le monde s'est révélé
À moi sous des couleurs nouvelles
Plus de peuples assassinés
Plus de cadavres calcinés
Plus de fœtus dans les poubelles
J'ai marché dans le vent du soir
Précédé par un encensoir
Qui parfumait la nuit tombante
J'ai retrouvé mon univers
Par mes yeux mais pas au travers
D'une lucarne déformante
On peut vivre sans la télé
Il suffit de se recaler
Par rapport aux valeurs premières
Entre l'azur, la terre et l'eau
Un zeste de vert écolo
Et du soleil pour la lumière
Le temps de vivre est supérieur
Quand il chante de l'intérieur
Que l'on peut l'entendre en soi-même
Ou même à deux, c'est différent
Le monde entier dans un écran
Ne vaut pas un simple "Je t'aime"
Le refus de consommation
Ne renie pas l'information
Il faut savoir ce qui se passe
Mais il vaut mieux participer
Par soi-même que de flipper
Aux clins d’œil de l'argent qui chasse
Qui arrondit ses fins de mois
Toujours en imposant ses choix
Un zeste de vert écolo
Et du soleil pour la lumière
Le temps de vivre est supérieur
Quand il chante de l'intérieur
Que l'on peut l'entendre en soi-même
Ou même à deux, c'est différent
Le monde entier dans un écran
Ne vaut pas un simple "Je t'aime"
Le refus de consommation
Ne renie pas l'information
Il faut savoir ce qui se passe
Mais il vaut mieux participer
Par soi-même que de flipper
Aux clins d’œil de l'argent qui chasse
Qui arrondit ses fins de mois
Toujours en imposant ses choix
Nous, on met la main à la poche
Ou sinon on vous fait crédit
Et vous vivez comme on vous dit
Pour tous le même son de cloche
Un jour j'ai fermé la télé
On s'est remis à se parler
On avait perdu l'habitude
On a commencé doucement
Tout d'abord un balbutiement
Pour émerger de l'hébétude
Puis quelques onomatopées
C'était pas du François Coppée
Mais vite on a rouvert un livre
Puis les bras naturellement
Pour aimer et tout simplement
Retrouver le bonheur de vivre
Ou sinon on vous fait crédit
Et vous vivez comme on vous dit
Pour tous le même son de cloche
Un jour j'ai fermé la télé
On s'est remis à se parler
On avait perdu l'habitude
On a commencé doucement
Tout d'abord un balbutiement
Pour émerger de l'hébétude
Puis quelques onomatopées
C'était pas du François Coppée
Mais vite on a rouvert un livre
Puis les bras naturellement
Pour aimer et tout simplement
Retrouver le bonheur de vivre
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