Paroles de la chanson Un instant par Sirius
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Paroles de la chanson Un instant par Sirius
Ta devise, t’as des tas de vices et l'état te suis depuis l’étap hôtel
En prison, y’aura pas d’tisanes, y’aura pas d’ptits oignons et pas d’ptit déj
Ambiance lugubre et sortilège
T'es rentré poids lourd, t'es sortie lège
J’parie sur le sheitan, non loin de chez toi, t’as vu tous les scores qu’il met
Du cul y a pas à tortiller
Mange des tortillas devant du Porcinet
Winnie l’ourson et toute la clique débarque du tiexson pour vous torpiller
Tiens moi la porte portier, club Dorothée, Corbier
Tu t'doute bien que j’en ai rien à foutre des rappeurs, des flics, juges et Cordier
En prison, y’aura pas d’tisanes, y’aura pas d’ptits oignons et pas d’ptit déj
Ambiance lugubre et sortilège
T'es rentré poids lourd, t'es sortie lège
J’parie sur le sheitan, non loin de chez toi, t’as vu tous les scores qu’il met
Du cul y a pas à tortiller
Mange des tortillas devant du Porcinet
Winnie l’ourson et toute la clique débarque du tiexson pour vous torpiller
Tiens moi la porte portier, club Dorothée, Corbier
Tu t'doute bien que j’en ai rien à foutre des rappeurs, des flics, juges et Cordier
Quand tu m’croise, tu restes poli, hey
Tu comprend pas des mots comme « polymère »
Des fils t’es pas l’plus malin, ta mère le sais bien, ouais, t'as le QI d'un conifère
Paye ton malheur d’être solitaire
Dormir avec quelques somnifères
Heureusement c’est les soldes d'hiver, en guise de sapin une grosse bière
J’suis triste à mourir, le chagrin nourri, la haine depuis l'époque, épingle à nourrice
Des textes à vous lire, des restes à vomir, la veille me fait l’effet d’atteindre la folie
Marche bucolique, rage utopie, crache sur vos livres sur du Phil Collins
En marge t’es hostile, marche droit met l’ostie dans la bouche, fait pas croire qu’on sauvera ces pauvres types
Tu comprend pas des mots comme « polymère »
Des fils t’es pas l’plus malin, ta mère le sais bien, ouais, t'as le QI d'un conifère
Paye ton malheur d’être solitaire
Dormir avec quelques somnifères
Heureusement c’est les soldes d'hiver, en guise de sapin une grosse bière
J’suis triste à mourir, le chagrin nourri, la haine depuis l'époque, épingle à nourrice
Des textes à vous lire, des restes à vomir, la veille me fait l’effet d’atteindre la folie
Marche bucolique, rage utopie, crache sur vos livres sur du Phil Collins
En marge t’es hostile, marche droit met l’ostie dans la bouche, fait pas croire qu’on sauvera ces pauvres types
Le vent répand nos fleurs fanées
Un brin de ride sur nos visages
J’entend le chant des condamnés
Résonner plus fort que l'orage
Ma vie ne dure qu'un instant
Le temps semble s’envoler
Peut-être se cache t’il sous ton maquillage
J’agonise frérot j’agonise
Rêve de Laponie, pas de terre promise
La police peut toujours chercher, j’suis plutôt Clark Kent que ce brave Tony
La vie t’écartèles, alcoolique
Nouvelle pensée ancien catholique
Compte sur les doigts d’la main les gens qui font l’bien
Les autres sont de pâles copies
Trouver une fille, bien pas possible
Un brin de ride sur nos visages
J’entend le chant des condamnés
Résonner plus fort que l'orage
Ma vie ne dure qu'un instant
Le temps semble s’envoler
Peut-être se cache t’il sous ton maquillage
J’agonise frérot j’agonise
Rêve de Laponie, pas de terre promise
La police peut toujours chercher, j’suis plutôt Clark Kent que ce brave Tony
La vie t’écartèles, alcoolique
Nouvelle pensée ancien catholique
Compte sur les doigts d’la main les gens qui font l’bien
Les autres sont de pâles copies
Trouver une fille, bien pas possible
Epoque pervertit, le pape aussi
Entre violeur et scatophile
Entre caillera fragile et gars docile
N’entre pas là, seule l'agonie
Règne en maitre sur tous ces anonymes
Ferme ta gueule ici la money
Te caresse dans l’sens de la carotides
À vos risques, à vos risques
Et périls, si le temps dépérit, à vos risques
Anubis Anubis
Viendra faire le ménage peu de gens aguéris
Ah le vice, ah le fils
Se balade dans la ville avec l’air à l’OCRTIS
Pas de pistes, pas de pistes
La police se désiste, j’avais dit pas de flic
Ce monde est un tas de fric
« Cement-dou » un tas de chien
Entre violeur et scatophile
Entre caillera fragile et gars docile
N’entre pas là, seule l'agonie
Règne en maitre sur tous ces anonymes
Ferme ta gueule ici la money
Te caresse dans l’sens de la carotides
À vos risques, à vos risques
Et périls, si le temps dépérit, à vos risques
Anubis Anubis
Viendra faire le ménage peu de gens aguéris
Ah le vice, ah le fils
Se balade dans la ville avec l’air à l’OCRTIS
Pas de pistes, pas de pistes
La police se désiste, j’avais dit pas de flic
Ce monde est un tas de fric
« Cement-dou » un tas de chien
Voudront ton tas de shit
On ne trouve pas de fin, où l’humain sortira vainqueur de sa folie
On y vient on ira, fleurir les sols enneigés de la Laponie
J’me souviens j'étais là, j’évoluais dans la foule inconscient incompris
Le vent répand nos fleurs fanées
Un brin de ride sur nos visages
J’entend le chant des condamnés
Résonner plus fort que l'orage
Ma vie ne dure qu'un instant
Le temps semble s’envoler
Peut-être se cache t’il sous ton maquillage
On ne trouve pas de fin, où l’humain sortira vainqueur de sa folie
On y vient on ira, fleurir les sols enneigés de la Laponie
J’me souviens j'étais là, j’évoluais dans la foule inconscient incompris
Le vent répand nos fleurs fanées
Un brin de ride sur nos visages
J’entend le chant des condamnés
Résonner plus fort que l'orage
Ma vie ne dure qu'un instant
Le temps semble s’envoler
Peut-être se cache t’il sous ton maquillage
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