Paroles de la chanson Till Death's Done Us Apart (Traduction) par Sonata Arctica
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Paroles de la chanson Till Death's Done Us Apart (Traduction) par Sonata Arctica
Tu m'as souri, très cher
Désormais, je ne le fais jamais quand je suis seul
Tirant sur le fil de la vie
Observer seulement ce qui défait ce moment
Mon amour est un clone...
Il était une fois, un garçon écrivait un conte de fée
Ding, dong, ding, dong,
Là où tout allait mal
Et puis un jour...
Il a trouvé une fille dont il est tombé amoureux
Il a toujours pensé que l'amour était un mythe
Désormais, je ne le fais jamais quand je suis seul
Tirant sur le fil de la vie
Observer seulement ce qui défait ce moment
Mon amour est un clone...
Il était une fois, un garçon écrivait un conte de fée
Ding, dong, ding, dong,
Là où tout allait mal
Et puis un jour...
Il a trouvé une fille dont il est tombé amoureux
Il a toujours pensé que l'amour était un mythe
Ils ont vécu le conte de fée, la prophétie
Et depuis, ils ont grandi séparément, mais...
Un, deux, trois, un, deux, trois
Elle était en train de danser le jour du mariage
Cachant profondément le secret dans son coeur...
Jusqu'à ce que la mort nous sépare
Je n'ai trouvé aucun signe de vie
Dans ton coeur, il n'y en a plus, ni d'amour, ni de merveille
Tu a tenté d'échapper à mon toucher
C'est évident de voir que c'est fini entre nous, telle est ma faiblesse
Et une fois de plus, la neige tombe sur les ruines
Tu joues toujours comme une madone
Et depuis, ils ont grandi séparément, mais...
Un, deux, trois, un, deux, trois
Elle était en train de danser le jour du mariage
Cachant profondément le secret dans son coeur...
Jusqu'à ce que la mort nous sépare
Je n'ai trouvé aucun signe de vie
Dans ton coeur, il n'y en a plus, ni d'amour, ni de merveille
Tu a tenté d'échapper à mon toucher
C'est évident de voir que c'est fini entre nous, telle est ma faiblesse
Et une fois de plus, la neige tombe sur les ruines
Tu joues toujours comme une madone
Ce que tu n'es pas
Je peux te blesser désormais...
Je connais la souffrance, tu me percute déjà
En m'embrassant...
Tu n'aurais jamais du m'aimer
Car peut-être que mon coeur est fait de pierre
Mais je me demande toujours...
Si ton histoire de fée est finie pour toujours
Alors, laisse-moi.
Dans la lumière d'une nuit agitée
Tu t'es endormie avec la plaie, qui a oublié de saigner
Pour moi, tu n'as pas voulu saigner pour moi
Pour l'amour, une goutte, pas plus, ma faiblesse
la neige doit tomber une fois de plus sur les ruines
Je peux te blesser désormais...
Je connais la souffrance, tu me percute déjà
En m'embrassant...
Tu n'aurais jamais du m'aimer
Car peut-être que mon coeur est fait de pierre
Mais je me demande toujours...
Si ton histoire de fée est finie pour toujours
Alors, laisse-moi.
Dans la lumière d'une nuit agitée
Tu t'es endormie avec la plaie, qui a oublié de saigner
Pour moi, tu n'as pas voulu saigner pour moi
Pour l'amour, une goutte, pas plus, ma faiblesse
la neige doit tomber une fois de plus sur les ruines
Si tu veux voir cette fin, tu devras
Peindre tes lèvres avec le sang rouge de mon coeur brisé
Le sang rouge de mon coeur brisé
Le gout se dissipe, laissons une cicatrice contaminée...
Je suis nu dans la roue du tourment
Tourne-moi encore, célèbre la fin qui approche
Magnifique rouille, ma douleur de tristesse
Suivant ta course effrénée vers ma tristesse
Les acres les plus sombres du coeur humain sont
Eclairés par les cendres de la perfection perdue
Il était une vie, le temps de l'amour, l'affection
L'arbre se meurt, la passion la plus violente...
Peindre tes lèvres avec le sang rouge de mon coeur brisé
Le sang rouge de mon coeur brisé
Le gout se dissipe, laissons une cicatrice contaminée...
Je suis nu dans la roue du tourment
Tourne-moi encore, célèbre la fin qui approche
Magnifique rouille, ma douleur de tristesse
Suivant ta course effrénée vers ma tristesse
Les acres les plus sombres du coeur humain sont
Eclairés par les cendres de la perfection perdue
Il était une vie, le temps de l'amour, l'affection
L'arbre se meurt, la passion la plus violente...
Il était une fois, un homme vivait dans son
Conte de fée
Ding, dong, ding, dong,
Là où tout allait mal
Et puis un jour...
Il a perdu la fille dont il est tombé amoureux
Elle a prouvé pour toujours que l'amour n'était qu'un mythe
Ils ont vécu le conte de fée, la prophétie
Et se sont lentement déchirés
Je suis nu dans la roue du tourment
Tourne-moi encore, célèbre la fin qui approche
Magnifique rouille, ma douleur de tristesse
Suivant ta course effrénée vers ma tristesse
Les acres les plus sombres du coeur humain sont
Conte de fée
Ding, dong, ding, dong,
Là où tout allait mal
Et puis un jour...
Il a perdu la fille dont il est tombé amoureux
Elle a prouvé pour toujours que l'amour n'était qu'un mythe
Ils ont vécu le conte de fée, la prophétie
Et se sont lentement déchirés
Je suis nu dans la roue du tourment
Tourne-moi encore, célèbre la fin qui approche
Magnifique rouille, ma douleur de tristesse
Suivant ta course effrénée vers ma tristesse
Les acres les plus sombres du coeur humain sont
Eclairés par les cendres de la perfection perdue
Il était une vie, le temps de l'amour, l'affection
L'arbre se meurt, la passion la plus violente...
Tu lui a fait un sourire, très chère
Il n'en a jamais fait, car il est seul
Il se pend au fil de la vie
Il ne reste qu'à observer que qui peut le sauver, désormais,
Il se demande quoi
Tu étais comme une sirène
Vivant sur l'île de son amour
Une sécheresse dans la calice de la vie, si amer
Il savait que cela le tuerait un jour
Il était une fois, un garçon écrivait un
Il était une vie, le temps de l'amour, l'affection
L'arbre se meurt, la passion la plus violente...
Tu lui a fait un sourire, très chère
Il n'en a jamais fait, car il est seul
Il se pend au fil de la vie
Il ne reste qu'à observer que qui peut le sauver, désormais,
Il se demande quoi
Tu étais comme une sirène
Vivant sur l'île de son amour
Une sécheresse dans la calice de la vie, si amer
Il savait que cela le tuerait un jour
Il était une fois, un garçon écrivait un
Conte de fée
Ding, dong, ding, dong,
Où tout allait mal
Il semble qu'il t'ai trouvé désormais, alors brisons le sort
Et lisons la carte
Ding, dong, ding, dong,
"Jusqu'à ce que la mort nous sépare"
Ding, dong, ding, dong,
Où tout allait mal
Il semble qu'il t'ai trouvé désormais, alors brisons le sort
Et lisons la carte
Ding, dong, ding, dong,
"Jusqu'à ce que la mort nous sépare"
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