Paroles de la chanson Authentique par Souffrance
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Paroles de la chanson Authentique par Souffrance
Derrière, y a des reu-reus, j'peux pas décevoir
Ils vont fermer les yeux, c'est le noir
J'aurais l'inspi' tant qu'j'suis pauvre
J'sais pas si c'est des maisons d'disques ou bien des maisons closes
Quand y a d'la viande, j'ramène les 'socs, toute la bande
Personne met l'nez dans la blanche
Personne va laisser passer la chance même si on a dépassé la trentaine (trentaine)
Toujours dans l'zoo, y a pas d'mondanités
Pourtant, l'dernier album, ils avaient l'air d'kiffer
J'suis obligé d'me diversifier, j'digère les pierres comme Freko
J'leur rappelle hier comme écho
Voiture flinguée, rappe parce qu'faut fait les cosses
Y aura qu'des bourges dans la classe de mes gosses
Faut s'investir dans l'machin (dans l'machin)
J'suis en bas d'chez Tonio à Romainville, Cachin
Dès le lundi dans des petits larcins
En chien du début à la fin, notre avenir est limpide
Pour s'endormir, suffit pas de lire un livre
Faut se mettre sous endorphine ou sous adrénaline
T'inquiète pas, c'est nickel
Même s'il y a ni tête ni queue, ça sent la Russie
Comme Bobigny de Fabio Lucci
L'hôpital, c'est Hassen, sont cagoulés, descendent en rappel
Voiture flinguée, rappe parce qu'faut fait les cosses
Y aura qu'des bourges dans la classe de mes gosses
Faut s'investir dans l'machin (dans l'machin)
J'suis en bas d'chez Tonio à Romainville, Cachin
Dès le lundi dans des petits larcins
En chien du début à la fin, notre avenir est limpide
Pour s'endormir, suffit pas de lire un livre
Faut se mettre sous endorphine ou sous adrénaline
T'inquiète pas, c'est nickel
Même s'il y a ni tête ni queue, ça sent la Russie
Comme Bobigny de Fabio Lucci
L'hôpital, c'est Hassen, sont cagoulés, descendent en rappel
Toi, t'es pas du bon vin
T'es un Cayenne 2001, tu fais pas deux fois l'tour du rond-point
On tient la longueur, on s'compte sur les mains
À la base, on sait même pas on était combien
Il y a des kil' au compteur et je m'en bats les yari
On m'a dit : "Aie du khaliss, du wari"
Zarma, ils font mieux, j'attends encore qu'ils arrivent
J'allume un pétard, j'toque à la porte pour l'or comme Pégase
Le maire, il a cru c'tait sa ville depuis que la mun', ils ont des calibres
Le La Mauny remonte aux canines
On n'est pas dans l'équipe, on fait l'taff comme Karim
Faut qu'on s'arme, y a des grosses sommes qui arrivent
T'es un Cayenne 2001, tu fais pas deux fois l'tour du rond-point
On tient la longueur, on s'compte sur les mains
À la base, on sait même pas on était combien
Il y a des kil' au compteur et je m'en bats les yari
On m'a dit : "Aie du khaliss, du wari"
Zarma, ils font mieux, j'attends encore qu'ils arrivent
J'allume un pétard, j'toque à la porte pour l'or comme Pégase
Le maire, il a cru c'tait sa ville depuis que la mun', ils ont des calibres
Le La Mauny remonte aux canines
On n'est pas dans l'équipe, on fait l'taff comme Karim
Faut qu'on s'arme, y a des grosses sommes qui arrivent
Les flics impolis, faut les brûler comme à Sainte-Soline
Vu l'prix de l'essence, nique sa mère un bolide
Si t'es mon frère, j'suis prêt à l'faire pour moins d'un euro symbolique
Y a des couches à changer, y a des bouches à nourrir
Y a de la haze, de la kush ras-dép
Le peuple a faim, j'lui ramène de la bouffe mais il crache dans l'assiette
Quoi qu'il advienne, on va l'faire
J'dois dire un truc, la vie, la chienne
La vie, la pute, moi, je la dresse
Pour qu'elle devienne dolce, j'dois consommer tous ses objets mais j'ai la flemme de bosser
Les serpents t'enculent sans prendre la peine de t'filer une pomme
D'la souffrance, j'en ai mille et une tonnes
Vu l'prix de l'essence, nique sa mère un bolide
Si t'es mon frère, j'suis prêt à l'faire pour moins d'un euro symbolique
Y a des couches à changer, y a des bouches à nourrir
Y a de la haze, de la kush ras-dép
Le peuple a faim, j'lui ramène de la bouffe mais il crache dans l'assiette
Quoi qu'il advienne, on va l'faire
J'dois dire un truc, la vie, la chienne
La vie, la pute, moi, je la dresse
Pour qu'elle devienne dolce, j'dois consommer tous ses objets mais j'ai la flemme de bosser
Les serpents t'enculent sans prendre la peine de t'filer une pomme
D'la souffrance, j'en ai mille et une tonnes
J'suis venu briser des colonnes, come on, the show must go on (go on)
J'parle pas au tél', y a de la friture comme chez l'colonel
Le pilote vient d'Afrique, la voiture est allemande, la plaque est polonaise
J'rappe des coups d'tibia à t'péter la jambe
J'm'en tape que les pédés s'assemblent
Le jour d'la victoire, on pensera aux absents
Écoute pas c'qu'on t'racontera : y a pas d'paroles, y a que des contrats (on y pensera)
On met l'feu dès qu'on passe
J'm'en bats les couilles d'qui t'es comme Claude Makélélé
Jeune pauvre a trop d'nœuds à démêler
On veut les repas copieux qu'on a jamais rêvés
RSA, PDG, sur l'chemin c'est danger
Quatre-vingt ze-trei, y a des coups d'lame comme dans les films de cape et d'épée
J'parle pas au tél', y a de la friture comme chez l'colonel
Le pilote vient d'Afrique, la voiture est allemande, la plaque est polonaise
J'rappe des coups d'tibia à t'péter la jambe
J'm'en tape que les pédés s'assemblent
Le jour d'la victoire, on pensera aux absents
Écoute pas c'qu'on t'racontera : y a pas d'paroles, y a que des contrats (on y pensera)
On met l'feu dès qu'on passe
J'm'en bats les couilles d'qui t'es comme Claude Makélélé
Jeune pauvre a trop d'nœuds à démêler
On veut les repas copieux qu'on a jamais rêvés
RSA, PDG, sur l'chemin c'est danger
Quatre-vingt ze-trei, y a des coups d'lame comme dans les films de cape et d'épée
Moi, j'fais qu'rapper mes plaies
J'peux pas m'arrêter, c'est mon art, j'réessaie
J'suis trop loin, j'ai dépassé l'échec
J'ai juré, avec un seize, j'peux effacer mes dettes
Faut casser les préjugés, les chaînes
Il faisait trop noir dans l'trou, on a brûlé l'échelle
L'être humain est traitre : la main qui donne doit d'l'oseille à la main qui prête
Mon blase en dit long en dix lettres
J'envoie que d'la frappe alors les ients-cli viennent
C'est du business pas des gentillesses, les petits mettent à l'amende les légendes d'hier
9.3, image choquante comme dans Rotten
Tu suis la flèche et le terrain est open
Y en a qu'ont plongé, y en a qui ont passé les portes de l'hôpital allongés
J'peux pas m'arrêter, c'est mon art, j'réessaie
J'suis trop loin, j'ai dépassé l'échec
J'ai juré, avec un seize, j'peux effacer mes dettes
Faut casser les préjugés, les chaînes
Il faisait trop noir dans l'trou, on a brûlé l'échelle
L'être humain est traitre : la main qui donne doit d'l'oseille à la main qui prête
Mon blase en dit long en dix lettres
J'envoie que d'la frappe alors les ients-cli viennent
C'est du business pas des gentillesses, les petits mettent à l'amende les légendes d'hier
9.3, image choquante comme dans Rotten
Tu suis la flèche et le terrain est open
Y en a qu'ont plongé, y en a qui ont passé les portes de l'hôpital allongés
J'ai fait un freestyle, j'ai réveillé des morts
Vaudou, ils étaient morts
Faut d'la monnaie, de l'or
Ils ont oublié comment c'était dehors
Il fait froid et on est beaucoup
J'ai fait un freestyle, j'ai réveillé des morts
Vaudou, ils étaient morts
Faut d'la monnaie, de l'or
Ils ont oublié comment c'était dehors
Il fait froid et on est beaucoup
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