Paroles de la chanson Claroscuro (Traduction) par Soy Luna

Claroscuro (Traduction) Paroles originales du titre
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Paroles de la chanson Claroscuro (Traduction) par Soy Luna

Chaque jour qui passe, je peux sentir
(Que je suis, que je suis, que je suis, que je suis mauvaise)
Et même si le soleil se lève, tout en moi est gris
(Que je suis, que je suis, que je suis, que je suis mauvaise)

J'en ai marre de ces regards faussements gentils
Car je n'ai que de l'obscurité dans mes yeux tendres
C'est comme un sort, il ne peut pas être rompu
(Quel dommage, quel dommage, quel dommage)

Je n'ai jamais arrêté de propager mon poison
Et je n'ai pas de limites excepté le ciel
Je suis surnaturelle, terrestre, mais je rirai à la fin
(Quel dommage, quel dommage)
Je n'ai jamais arrêté de propager mon poison
Et je n'ai pas de limites excepté le ciel
Je suis surnaturelle, terrestre, mais je rirai à la fin
(Quel dommage, quel dommage)

Il n'y a plus de clair-obscur, seulement de l'obscurité
(Que je suis, que je suis, que je suis, que je suis mauvaise)
Quel est le problème d'être mauvais quand le monde dérape
(Que je suis, que je suis, que je suis, que je suis mauvaise)

J'en ai marre de ces regards faussements gentils
Car je n'ai que de l'obscurité dans mes yeux tendres
C'est comme un sort, il ne peut pas être rompu
(Quel dommage, quel dommage, quel dommage)

Je n'ai jamais arrêté de propager mon poison
Et je n'ai pas de limites excepté le ciel
Je suis surnaturelle, terrestre, mais je rirai à la fin
(Quel dommage, quel dommage)
Je n'ai jamais arrêté de propager mon poison
Et je n'ai pas de limites excepté le ciel
Je suis surnaturelle, terrestre, mais je rirai à la fin
(Quel dommage, quel dommage)

J'en ai marre de ces regards faussements gentils
Car je n'ai que de l'obscurité dans mes yeux tendres
C'est comme un sort, il ne peut pas être rompu
(Quel dommage, quel dommage, quel dommage)

Je n'ai jamais arrêté de propager mon poison
Et je n'ai pas de limites excepté le ciel
Je suis surnaturelle, terrestre, mais je rirai à la fin
(Quel dommage, quel dommage)
Je n'ai jamais arrêté de propager mon poison
Et je n'ai pas de limites excepté le ciel
Je suis surnaturelle, terrestre, mais je rirai à la fin
(Quel dommage, quel dommage)
(Quel dommage, quel dommage)

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