Paroles de la chanson Ether par Sparga
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Paroles de la chanson Ether par Sparga
Ouai y'en a marre d'Paris, de tout ces types pas nets
De tous ces slar-vi et d'ces p'tites starlettes
Alors je crame ma petite barrette
J'me barre, sur une autre planète
Ça fait
La tête dans les constellations
Beaucoup trop d'imagination
Quand j'm'évade dans mes délires oniriques
J'rêve des beaux yeux d'Osiris, du menhir d'Obelix
De m'barrer au Belize ah ouai
J'roule un zder très très aiguisé
Qui m'emmène vers la tour de Pise
De tous ces slar-vi et d'ces p'tites starlettes
Alors je crame ma petite barrette
J'me barre, sur une autre planète
Ça fait
La tête dans les constellations
Beaucoup trop d'imagination
Quand j'm'évade dans mes délires oniriques
J'rêve des beaux yeux d'Osiris, du menhir d'Obelix
De m'barrer au Belize ah ouai
J'roule un zder très très aiguisé
Qui m'emmène vers la tour de Pise
Ou les pyramides de Gizeh
J'suis complètement matrixé, THCisé
J'suis cet être éphémère qui veut vivre pour l'éternité
Au fin fond de l'ether, loin d'l'enfer et ses Champs-Elysées
A la recherche d'mon Ipséité, ça fait :
La vanité, d'la réalité, m'donne l'envie d'm'aliter
La santé éreinté, j'veux un zders et un thé
C'est la fin d'la récré, j'retourne zoner sur l'rain-té
J'retourne en Ouibus à Paname
La larme à l'œil et la vague à l'âme
Porte de Montreuil sur le macadam
J'suis complètement matrixé, THCisé
J'suis cet être éphémère qui veut vivre pour l'éternité
Au fin fond de l'ether, loin d'l'enfer et ses Champs-Elysées
A la recherche d'mon Ipséité, ça fait :
La vanité, d'la réalité, m'donne l'envie d'm'aliter
La santé éreinté, j'veux un zders et un thé
C'est la fin d'la récré, j'retourne zoner sur l'rain-té
J'retourne en Ouibus à Paname
La larme à l'œil et la vague à l'âme
Porte de Montreuil sur le macadam
Déjà marre d'cette ville des files d'attentes interminables
Et j'veux pas finir, comme un vulgaire quidam
Comme toutes ces fins d'soirées, où j'ai eu l'air minable
République-Bastille sur le pavé
Moi tous les sam'di j'me fais gazer
Ouai pays de tarés, Paris c'est Gaza
J'me barre à Alger puis bronzer à Casa
Sur mon vélo volé j'té-ma l'cul des gentes dames
J'fume le bédo posé sur le toit de Notre-Dame
Ya l'mégot jeté, le vent puis les flammes
Ya l'soleil couché, l'bossu brulé c'est le drame
Et j'veux pas finir, comme un vulgaire quidam
Comme toutes ces fins d'soirées, où j'ai eu l'air minable
République-Bastille sur le pavé
Moi tous les sam'di j'me fais gazer
Ouai pays de tarés, Paris c'est Gaza
J'me barre à Alger puis bronzer à Casa
Sur mon vélo volé j'té-ma l'cul des gentes dames
J'fume le bédo posé sur le toit de Notre-Dame
Ya l'mégot jeté, le vent puis les flammes
Ya l'soleil couché, l'bossu brulé c'est le drame
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