Paroles de la chanson Mois de Mai par Starshooter
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Paroles de la chanson Mois de Mai par Starshooter
Des week-end à n'en plus finir,
Des dimanches longs à mourrir sans soleil ni oseille
Juste un trottoir pour les loisirs,
Juste des disques et des désirs qu'on monnaie,
Qu'on monnaie
Il était toujours dans la mouise
Préférait l'garage à l'église, à Prévert ou Baudelaire
Il rêvait d'autos et d'amplis
De batteries et de rallyes les nuits dans son sommeil
Et les uns se marient, les autre s'enfuient
Mais pas lui, pas lui, chacun a sa vie
Des dimanches longs à mourrir sans soleil ni oseille
Juste un trottoir pour les loisirs,
Juste des disques et des désirs qu'on monnaie,
Qu'on monnaie
Il était toujours dans la mouise
Préférait l'garage à l'église, à Prévert ou Baudelaire
Il rêvait d'autos et d'amplis
De batteries et de rallyes les nuits dans son sommeil
Et les uns se marient, les autre s'enfuient
Mais pas lui, pas lui, chacun a sa vie
Qui lui réussit mais pas lui, pas lui
C'était au mois de mai...mois de mai
Il voulait plus de son garage
Qui lui donnait plus que son âge ce jour là, sans soleil
Il voulait juste que je l'emmène
Homme à tout faire derrière la scène, du manège
Du manège, du manège..
Je n'avais pas de place, j'étais dans la poisse
En ce temps-là, ce temps-là
Je promis un futur de meilleur augure
Pour plus tard, oui eh! plus tard
C'était au mois de mai...mois de mai
C'était au mois de mai...mois de mai
Il voulait plus de son garage
Qui lui donnait plus que son âge ce jour là, sans soleil
Il voulait juste que je l'emmène
Homme à tout faire derrière la scène, du manège
Du manège, du manège..
Je n'avais pas de place, j'étais dans la poisse
En ce temps-là, ce temps-là
Je promis un futur de meilleur augure
Pour plus tard, oui eh! plus tard
C'était au mois de mai...mois de mai
Rarement heureux, toujours malade,
Toujours avec des filles trop fades, sans soleil, au réveil
Se disait-il quand je passais
Dans sa télé sans l'faire exprès
"Quel fumier... quel fumier ! va ! quel bordel !
Il a fallu, il a fallu , il a fallu, il a fallu
Son accident pour que je m'en souvienne
Je m'en souvienne
Et là j'ai vu, j'ai vu,
Que je pourrais l'aider maintenant, quelle déveine !
Quelle déveine ! l'a jamais eu de la veine, non!
L'a jamais eu de la veine, l'a jamais eu de la veine
Oh non! non ! non ! s'éteindre au mois de mai !
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