Paroles de la chanson Lettre par Suego
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Paroles de la chanson Lettre par Suego
Elle cache ses défauts sous son make up
Ton Fenty Beauty peux pas cacher tes torts
Verres brisés dans tous les décors
Parts de mon coeur et j'vois que tu les dévore
Je veux cramer l'hôtel ou t'a capter les autres
Je veux compter mes sommes
Je veux compter les hommes, avec qui t'a pu estomper nos souvenirs
J'inhale ma peine, Dеrnier soupir
Je te voyais plus commе avant
Je te voyais plus comme amant
Ton Fenty Beauty peux pas cacher tes torts
Verres brisés dans tous les décors
Parts de mon coeur et j'vois que tu les dévore
Je veux cramer l'hôtel ou t'a capter les autres
Je veux compter mes sommes
Je veux compter les hommes, avec qui t'a pu estomper nos souvenirs
J'inhale ma peine, Dеrnier soupir
Je te voyais plus commе avant
Je te voyais plus comme amant
J'ai tenu ta main constamment, maintenant je te déteste consciemment
[Rania Fadi]
Très souvent, après minuit, on entend les tambours de nos vies
Comme un souffle du bout du monde
Fin du voyage en cette nuit
Secrets mêlés qui vagabondent
Dans la douce torpeur d'une nuit étoilée
Prisionnier d'un monde sulfureux, l'espoir malheureux
Voilà ce qu'il reste de cettre tournure implacable
Le temps nous tue, comme sa vengeance est amère
Un souffle qui court est silencieux
Porte l'empreinte de ses fers
[Rania Fadi]
Très souvent, après minuit, on entend les tambours de nos vies
Comme un souffle du bout du monde
Fin du voyage en cette nuit
Secrets mêlés qui vagabondent
Dans la douce torpeur d'une nuit étoilée
Prisionnier d'un monde sulfureux, l'espoir malheureux
Voilà ce qu'il reste de cettre tournure implacable
Le temps nous tue, comme sa vengeance est amère
Un souffle qui court est silencieux
Porte l'empreinte de ses fers
Les étoiles reposent comme un fleuve qui se meurt en lanscinant regrets
Chimériques bonheurs, amour à l'imparfait, et valsent les secondes, en douce apothéose
Mais tout cela ne fut qu'un frisson inutile
Après minuit
Chimériques bonheurs, amour à l'imparfait, et valsent les secondes, en douce apothéose
Mais tout cela ne fut qu'un frisson inutile
Après minuit
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