Paroles de la chanson On S'enlace par Suissa
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Paroles de la chanson On S'enlace par Suissa
Quand bien même, quand bien même plus...
Au travers des saisons
Dans la chair d'un fruit
Dans le feu des yeux d'une autre
Dans la fraicheur d'une pluie
Quand les amis sont là
Et que les rires fusent
Que les nuages moutonnent et glissent sur un ciel azur
Dans une plaine campagne vide
Creusée sur ses lignes
Quand bien même, quand bien même plus
Plus de Rome, plus de vertu
Quand bien même, quand bien même plus, plus de sens à la rue
Au travers des saisons
Dans la chair d'un fruit
Dans le feu des yeux d'une autre
Dans la fraicheur d'une pluie
Quand les amis sont là
Et que les rires fusent
Que les nuages moutonnent et glissent sur un ciel azur
Dans une plaine campagne vide
Creusée sur ses lignes
Quand bien même, quand bien même plus
Plus de Rome, plus de vertu
Quand bien même, quand bien même plus, plus de sens à la rue
Quand bien même, quand bien même plus, de goût ni d'appétit
Quand bien même, quand bien même plus, en dents de scie va la vie.
Dans les pépins
Dans les pommes
Quand le sifflet des trains résonne
Immiscée dans la pierre d'une monumentale Rome
Aux flancs d'Ussons et de ses cols
Assommé sans alcool
Au rythme des souvenirs qui cognent fort, dans l'effort qui libère
Quand bien même...
On s'enlace c est tout passé
On s'en lasse et tout passe
Les vagues remous d' un frisson dans le cou
Quand bien même, quand bien même plus, en dents de scie va la vie.
Dans les pépins
Dans les pommes
Quand le sifflet des trains résonne
Immiscée dans la pierre d'une monumentale Rome
Aux flancs d'Ussons et de ses cols
Assommé sans alcool
Au rythme des souvenirs qui cognent fort, dans l'effort qui libère
Quand bien même...
On s'enlace c est tout passé
On s'en lasse et tout passe
Les vagues remous d' un frisson dans le cou
De la nature qui se livre
En conte des prés
Le long de l'asphalte avalé
Aux creux des vallées dévalées
De côte en côte, mes genoux tout rôtis
Dans la fin qu'on oublie le temps de quelques lunes pleines d'envies
Quand bien même...
Dans les reflets d'un instant où se mirent monuments
Dans tous les silences, les insomnies et toutes les danses aussi
Quand bien même...
En conte des prés
Le long de l'asphalte avalé
Aux creux des vallées dévalées
De côte en côte, mes genoux tout rôtis
Dans la fin qu'on oublie le temps de quelques lunes pleines d'envies
Quand bien même...
Dans les reflets d'un instant où se mirent monuments
Dans tous les silences, les insomnies et toutes les danses aussi
Quand bien même...
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