Paroles de la chanson Avec tous ces ne me quitte pas par Sylvie Vartan
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Paroles de la chanson Avec tous ces ne me quitte pas par Sylvie Vartan
Avec tous ces ne me quitte pas
On ne repousse pas le danger
On l'invite soudain au plus près
Et l'on a peur de ce qu'on voit
Avec tous ces ne me quitte pas
On a fait fuir tous les soleils
L'amour qui ne revenait pas
Est reparti vers d'autres merveilles
L'instant où le cœur bat n'est déjà plus présent
Sauf le chaud et le froid de ce que l'on ressent
Et la vague impression d'être toujours en sursis
Entre deux illusions le jour et la nuit, la nuit
On ne repousse pas le danger
On l'invite soudain au plus près
Et l'on a peur de ce qu'on voit
Avec tous ces ne me quitte pas
On a fait fuir tous les soleils
L'amour qui ne revenait pas
Est reparti vers d'autres merveilles
L'instant où le cœur bat n'est déjà plus présent
Sauf le chaud et le froid de ce que l'on ressent
Et la vague impression d'être toujours en sursis
Entre deux illusions le jour et la nuit, la nuit
Avec tous ce ne me quitte pas
On finit seul alors tais-toi
Oublie la chute libre de mes bras
Le piano léger de mes doigts
Avec tout ce que l'on n'a pas
On subit parfois on est sois
Nous sommes le regard ou la voix
Ce que nous l'on ne reproche pas
L'instant où le cœur bat n'est déjà plus présent
Sauf le chaud et le froid de ce que l'on ressent
Et la vague impression d'être toujours en sursis
Entre deux illusions le jour et la nuit, la nuit
L'instant où le cœur bat n'est déjà plus présent
On finit seul alors tais-toi
Oublie la chute libre de mes bras
Le piano léger de mes doigts
Avec tout ce que l'on n'a pas
On subit parfois on est sois
Nous sommes le regard ou la voix
Ce que nous l'on ne reproche pas
L'instant où le cœur bat n'est déjà plus présent
Sauf le chaud et le froid de ce que l'on ressent
Et la vague impression d'être toujours en sursis
Entre deux illusions le jour et la nuit, la nuit
L'instant où le cœur bat n'est déjà plus présent
Sauf le chaud et le froid de ce que l'on ressent
Et la vague impression d'être toujours en sursis
Entre deux illusions le jour et la nuit, la nuit
Avec tous ces ne me quitte pas
On ne repousse pas le danger
On l'invite soudain au plus près
Et l'on a peur de ce qu'on voit
Alors ne me quitte pas
Et la vague impression d'être toujours en sursis
Entre deux illusions le jour et la nuit, la nuit
Avec tous ces ne me quitte pas
On ne repousse pas le danger
On l'invite soudain au plus près
Et l'on a peur de ce qu'on voit
Alors ne me quitte pas
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